Habité par une princesse ou par un monstre, prisonnier de lianes à cause d’un mauvais sort jeté par une horrible sorcière ou imprenable derrière ses hautes tours et ses cachettes secrètes malgré l’assaut répété des « méchants »… le château est évocateur de tout un tas d’aventures incroyables et sans fin surtout quand on n’a pas encore 10 ans. Mais ces scenarii restent (trop) souvent du domaine du rêve ou au mieux de celui du jeu dans sa chambre ou son jardin tout en distillant un petit semblant de frustration. Alors pour que les traditionnels « on dirait que… » ou « il était une fois… », préambules à n’importe quelle histoire imaginée par tous les bambins du monde, se transforment en « pour de vrai », Disneyland Paris a lancé un grand concours de dessin auprès des enfants de 3 à 8 ans de 6 pays européens (France, Espagne, Italie, Belgique, Pays Bas, Grande Bretagne).
Le thème : Le château de l’Imagination. 16 dessins ont été sélectionnés parmi les 1400 reçus en 2 semaines avec, pour leur auteur, l’ultime récompense : voir le château de leur rêve devenir réalité. Non pas à Marne la Vallée mais en plein cœur de la capitale où le fameux parc d’attractions a choisi de concrétiser cet élément d’architecture indispensable à tout bon conte fantastique.
Disneyland Paris sort de son enceinte pour bâtir à Paris le château tout droit sorti des rêves d’enfants
En effet, un château de plus de 10 mètres de haut conçu par Search -agence d’architecture qui réaménage actuellement les espaces publics de la Pyramide du Louvre- à partir des dessins des lauréats, sera construit et exposé du 8 au 11 mai, au Carré du Sanglier du Jardin des Tuileries… qui va forcément gagner en splendeurs et surtout en merveilleux face au très sérieux Musée du Louvre ! L’occasion, pour les enfants et leurs familles mais aussi le grand public de découvrir le château (composé d’une charpente de 14 tonnes et d’un lestage de 10 tonnes), une exposition de dessins et de participer à des ateliers de fresque murale, de tatouage, de décalcomanie, de maquillage et de photographie.
Bref de laisser libre cours à l’imagination et l’inventivité ainsi que cet événement a été pensé par Capisco, société de production intégrée du groupe Première Heure qui crée du contenu pour « permettre l’expression de toute créativité et d’apprendre différemment ». D’ailleurs, elle ne s’est pas contentée d’organiser le jeu concours et la manifestation, car elle a aussi développé un site dédié, a produit un mini-documentaire et diffusera, juste après l’événement, un film reveal expliquant toute la démarche et dont la communication sera assurée par BETC Euro RSCG. Un vrai programme pour nourrir les imaginaires des plus petits ou retourner en enfance pour les plus grands !
Florence Berthier
Pour en savoir plus, cliquez sur l’image
