11 juillet 2024

Temps de lecture : 3 min

BayaM, la plateforme sans algorithmes pour les 3-10 ans fait sa com sur Meta, Youtube … Il faut ce qu’il faut!

Sans accès à internet, sans publicité, sans collecte de données, et avec un chronomètre qui permet aux parents de contrôler la durée d’utilisation, BayaM est un espace où l’enfant peut jouer, écouter, lire, apprendre et découvrir tout en douceur, et sans aucun risque d’être exposé à des contenus inappropriés ou d’entrer en relation avec des inconnus. Exactement ce qu'il nous faudrait, à nous adultes, incapables de gérer nos propres utilisations des plateformes !

La consommation d’écran explose auprès des jeunes publics et représente pour un enfant de 5 ans, selon l’étude Santé publique France, 1h34 par jour. Ipsos calcule qu’Internet est devenu en 2022, leur média n°1, pour regarder des vidéos, échanger avec les proches, écouter de la musique, ou jouer aux jeux vidéo. Ce qui représente 6 heures par semaine pour les moins de 6 ans. Un temps qui augmente au fil des ans. Quoi de plus normal, pour Bayard Jeunesse de prendre la main sur ce sujet sans cesse évoqué dans les médias, notamment concernant la sécurité des petits chouchous, leur attention inutilement happée par des contenus inadaptés sur les smartphones de leurs parents où tout peut arriver. La plateforme digitale BayaM, éditorialisée, est, disons-le, d’utilité publique. Comme l’explique Nathalie Becht, directrice générale de Bayard Jeunesse, “le numérique fait aujourd’hui partie intégrante de la vie des enfants. Mais faire avec ne veut pas dire faire n’importe quoi. Nous avons à cœur de proposer des contenus de qualité, qui ouvrent les enfants à la découverte et sont parfaitement adaptés à chaque âge, tout en accompagnant les familles dans un usage raisonné et responsable des écrans”.

Un dispositif rassurant pour les parents

Oui, car les parents sont certainement les premiers concernés par ce que leurs enfants peuvent “écouter, regarder, lire, créer” et ce à quoi ils jouent… Au programme, donc de BayaM une plateforme tout-en-un, avec des vidéos et des dessins animés, mais aussi des histoires à lire et à écouter, des jeux, des documentaires interactifs, de l’audio… et même des activités créatives à réaliser sur et en dehors de l’écran. La vidéo ne représentant que 26% du catalogue.

BayaM s’adresse aux 3-4, 5-6, 7-10 ans

Autre élément important, c’est l’équipe éditoriale de BayaM qui, chaque mercredi, lors de sa conférence de rédaction sélectionne des surprises éditoriales pour chaque tranche d’âge. Une approche, calquée sur celle des magazines, qui amène les enfants à explorer de nouveaux sujets et formats qu’ils ne découvriraient pas forcément par eux-mêmes.

Les sujets prioritaires ? « Ceux liés au quotidien, comme la rentrée, le sport, ou ceux qui les préoccupent tels que les copains, la famille, l’égalité fille-garçons, complète la directrice adjointe de la branche jeunesse du groupe Bayard Héloïse de Monstiers, mais aussi les sujets d’actualité traités à hauteur d’enfant, comme les élections, le Débarquement…« 

Ainsi, BayaM annonce d’ores et déjà, la célébration des JO de Paris avec le documentaire Mes Ptits Docs… Agata détective leur permettra de mener l’enquête, de partir à la découverte interactive des océans avec le célèbre Maestro d’Il était une fois la vie ou d’écouter des compilations d’histoires de mer. Sans oublier, la présence des héros des tout petits, Petit Ours Brun, Tom Tom et Nana ou, Sam- Sam, connus des enfants comme des parents.

Le groupe Bayard lance dans la foulée une campagne sur les Internets…

Une vaste campagne digitale débutait hier. Elle inclut, paradoxalement, des publicités au sein de l’éco-système Webedia sur M6+ (ex-6play), YouTube et Meta qui visent à maximiser la visibilité de BayaM auprès des parents et des enfants. « Mais, il faut bien l’admettre, ces canaux sont largement fréquentés« , ajoute Héloïse de Monstiers.

… Et via son propre écosystème

Enfin la campagne s’étendra également à l’écosystème de Bayard Jeunesse et Milan. Des insertions presse prévues dans 16 titres fin juillet. En clair, le groupe, ne lésine pas sur les moyens mis en œuvre pour promouvoir ce nouveau-né, qui n’en doutons pas, garantira la paix et la protection nécessaire par ces temps de tourmente médiatique. De plus, des pré- rolls seront diffusés sur quatre des plus grands podcasts de Bayard Jeunesse, dont “La grande histoire de Pomme d’Api”, à partir du 10 juillet.

Last but not least, Héloïse de Monstiers annonce que « cette campagne a été réalisée en interne par les équipes de Bayard Jeunesse, tandis que le plan média a été géré par l’agence TamTam Conseil« .

La directrice adjointe de Bayard Presse est consciente de l’immense tache qui attend le groupe, car de fait en face, « les Netflix, Disney+, MyCanal, sont puissants et n’éprouvent aucune mauvaise conscience à considérer que les enfants sont des datas« . « Néanmoins, je suis persuadée« , poursuit-t-elle, « que BayaM lancé il y a tout juste une semaine, est être un rempart contre tous les abus, images, et programmes diffusés ailleurs« , et estime « ne pas être à l’abri de conquérir ces adultes qui laissent leurs enfants devant les écrans tout en culpabilisant de ne pas tenir leur rôle de parents responsables« …

objectif pour BayaM: 100 000 abonnés en année 1, pour un abonnement qui est de 2 euros si vous êtes déjà Bayard captif, et 5,95 euros, si vous êtes un nouveau venu.

Mieux, comme le dit fort justement celle qui fête ses 20 mois chez Bayard, « ce qui est révolutionnaire avec Bayam, c’est que partant d’une ligne éditoriale et de personnages existant déjà dans le groupe, nous allons certainement donner envie de découvrir à ces jeunes enfants leurs héros, dans d’autres logiques de lecture, de jeu, etc…  » Son objectif: 100 000 abonnés en année 1, pour un abonnement qui est de 2 euros si vous êtes déjà Bayard captif, et 5,95 euros, si vous êtes un nouveau venu. On fonce.

En résumé

Les parti-pris de BayaM

-Une adaptation fine aux capacités de chaque âge : trois tranches d’âge sont prévues dans BayaM : 3-4 ans / 5-6 ans / 7-10 ans… ce qui permet de proposer des contenus parfaitement adaptés au niveau de développement des enfants. Les familles peuvent créer jusqu’à 6 profils utilisateurs, mais chaque enfant verra des contenus différents en fonction de son âge.

-Des contenus travaillés sans mécanique favorisant l’addiction : pas de scroll infini, pas d’autoplay, pas de notifications, pas de recommandations automatiques, pas de récompenses qui incitent les enfants à se reconnecter.

-Une plateforme 100% sécurisée : Sans accès à internet, sans publicité, sans collecte de données, et avec un chronomètre qui permet aux parents de contrôler la durée d’utilisation, BayaM est un espace de confiance où l’enfant peut jouer, écouter, lire, apprendre et découvrir tout en douceur, et sans aucun risque d’être exposé à des contenus inappropriés ou d’entrer en relation avec des inconnus.

-Un mode audio sans écran : L’écran de BayaM s’éteint pour laisser l’enfant rêver au fil de la nar- ration. Réclamé par les parents, ce mode audio favorise une écoute attentive, une bonne mé- morisation, tout en laissant l’enfant libre de créer ses univers imaginaires.

-Une compatibilité multi-appareils : la plateforme BayaM est téléchargeable sur les stores mais aussi accessible via Airplay, Carplay, AndroïdCar et sur la télévision (Chromecast).

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