21 novembre 2019

Temps de lecture : 1 min

Des soft skills dans le cartable

La plupart des métiers de demain sont inconnus. Avec le digital, les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, tout ce que l’on apprend se démode dans la minute. Les implications de ce constat unanimement partagé déstabilisent. Être bon étudiant n’est plus forcément un gage de réussite. Les CV seraient dépassés. Les diplômes, bien que toujours nécessaires, ne seraient plus suffisants. Alors comment former les individus ? Que leur enseigner pour les mettre en adéquation avec ce monde du travail en totale reconfiguration ? Que doit-on leur enseigner dans nos écoles ? Apprendre à… apprendre. Car, comme le souligne Jack Ma, N°1 de Ali Baba « l’équilibre est dans l’adaptation permanente ».

La plupart des métiers de demain sont inconnus. Avec le digital, les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, tout ce que l’on apprend se démode dans la minute. Les implications de ce constat unanimement partagé déstabilisent. Être bon étudiant n’est plus forcément un gage de réussite. Les CV seraient dépassés. Les diplômes, bien que toujours nécessaires, ne seraient plus suffisants. Alors comment former les individus ? Que leur enseigner pour les mettre en adéquation avec ce monde du travail en totale reconfiguration ?  Que doit-on leur enseigner dans nos écoles ? Apprendre à… apprendre. Car, comme le souligne Jack Ma, N°1 de Ali Baba « l’équilibre est dans l’adaptation permanente ».

La grande idée qui se cache derrière cette mutation, est de comprendre que ce qui compte, pour réussir ses études et s’inscrire pleinement dans le monde de demain, n’est donc plus uniquement ce que l’on fait, mais ce que l’on est. Certes, les « hard skills », restent un pré requis, mais au-delà des compétences, c’est le « savoir être », la personnalité d’un individu et ce qu’il va pouvoir apporter à une entreprise, qui devient structurant. C’est ce que l’on appelle les soft skills, et ce qu’il faut désormais développer.

La capacité à se responsabiliser et à être autonome, à contextualiser au mieux une situation et à optimiser les rapports de force et de réseaux, à développer l’esprit de conquête, d’engagement, d’adaptabilité, et d’agilité deviennent des leviers d’employabilité. Ainsi que l’aptitude à se markéter et à communiquer sur soi comme le fait une marque, à prendre des risques, à s’engager, à se manager pour savoir manager, et à se cultiver en permanence pour se rendre perméable à la pluridisciplinarité.

Ces soft skills clés, et surtout comment les appliquer pour soi, doivent désormais faire partie intégrante de la formation des étudiants. Le Figaro Etudiant et Le Figaro Classifieds, pleinement conscients de cet enjeu professionnel et sociétal, ont organisé avec et pour les 800 étudiants de Master 2 SUP DE PUB, des talk-shows jusqu’en mars prochain, ainsi qu’une web-série. Douze épisodes dans lesquels  des N°1 de grandes marques délivreront leurs meilleurs conseils de soft skills : Le Slip français, Airbnb, Uber, BlaBlaCar, Frichti, Microsoft, le Bon Coin… mais aussi des personnalités comme Taïg Khris, Philippe Etchebest, etc. A découvrir ici .

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