28 octobre 2019

Temps de lecture : 2 min

On a tous en nous un peu de Ikea…

Ikea ne veut plus faire partie des meubles… et pour cela fait appel depuis quatre ans à Buzzman qui fait entrer dans la com du géant suédois, un zeste d'émotion, une pincée d'humour, et une tonne de bonheur. Retour sur une saga qui charme son monde.

Ikea ne veut plus faire partie des meubles… et pour cela fait appel depuis quatre ans à Buzzman qui fait entrer dans la com du géant suédois, un zeste d’émotion, une pincée d’humour, et une tonne de complicité. Retour sur une saga qui charme son monde.

On a tous chez nous un peu de Ikea, pourrait être le refrain du jingle du géant suédois… En effet, la marque maligne nous est tellement familière, son business se porte si bien, que la communication élaborée jusqu’à il y a quatre ans par Hémisphère Droit, -souvenez-vous, ce cri, Njut ! qui en suédois, signifie ralliement de tous les possibles, optimisme individuel et collectif, pouvoir créateur…-, a fini par nous couper affectivement de l’enseigne. Et oui, comme l’explique Sébastien Partika, DC chez Buzzman, (le tout premier salarié de l’agence), revenu de chez Wieden & Kennedy Amsterdam pour se charger notamment  du budget, « Ikea a fini par faire partie des meubles, et par conséquent, s’est vidé de son caractère affectif ». Et c’est ainsi que depuis trois ans, l’agence de Georges Mohammed-Cherif nous offre de jolis films où les « objets » Ikea sont au cœur d’enjeux familiaux du quotidien de vie drôles et tout en tendresse.

Après Njut ! signée Hémisphère Droit, retour à la tendresse intergénérationnelle…

En effet, après nous avoir offert les répétitions de danse effectuées dans son salon, par un jeune homme charmant dont on imagine qu’il joue sa vie amoureuse… tout en montrant à quel point une pièce équipée de meubles et accessoires Ikea est spacieuse… Nous comprenons que c’est avec sa mamie qu’il a rendez-vous pour aller danser… et non pas avec sa nouvelle copine… comme on avait cru le comprendre au tout début du film.

… Nous avoir rendus complices de cet ado en garde alternée qui ment éhontément à son père, en lui disant que sa mère lui a encore fait des coquillettes, père qui aussitôt se met à lui préparer un plat aux petits oignons, pour gagner ses faveurs… Ikea nous emballe avec ses tranches de vie.

C’est encore à un gros mensonge que nous convie le dernier Opus de la marque diffusé depuis hier. Cette fois encore, c’est dans la cuisine que se déroule la saynète, Ikea est le grand spécialiste en la matière. Un ado entre dans la pièce, son père prépare le petit déj. La communication entre les deux est sous les 0 degrés celzus. Lorsque le fils s’aperçoit que son daron a le bras dans une attelle… Que ne faut-il pas faire pour attirer l’attention de ses mutants… Le gamin se dit alors qu’il peut tout de même lui donner un coup de main… Et les voilà unis dans la préparation du repas. C’est alors que le paternel  tout joyeux d’avoir piégé son fils, et de voir leurs relations au mieux, sort son bras de l’attelle en signe de remerciement et pour lui souhaiter une bonne journée… La complicité, cette fois s’installe pour de bon…

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