25 juin 2019

Temps de lecture : 3 min

Pub’Art : « De grands événements populaires à vivre en live »

Les dispositifs antennes et digitaux mis en place par le Groupe TF1 autour des grandes compétitions sportives accompagnent la montée en puissance de l’intérêt du public et permettent de partager des ondes positives », explique Francois Pellisier, DG de TF1 Publicité et des Sports du Groupe TF1.

Les dispositifs antennes et digitaux mis en place par le Groupe TF1 autour des grandes compétitions sportives accompagnent la montée en puissance de l’intérêt du public et permettent de partager des ondes positives », explique Francois Pellisier, DG de TF1 Publicité et des Sports du Groupe TF1.

IN : comment le groupe TF1 accompagne les grands-messes sportives ?

Francois Pellisier : les manifestations sportives sont très fédératrices, véhiculent des notions de lien social et permettent de partager des émotions uniques. Ces moments très forts, que la plupart des gens regardent en direct à la télévision, reflètent bien la signature du groupe «Partageons des ondes positives». Grâce à l’expertise développée au fil des ans, les directions des sports et de l’information accompagnent la montée en puissance et proposent des dispositifs dignes de ces grands événements populaires. Le Groupe TF1 s’attache à être présent sur différentes compétitions : l’Euro, les coupes du monde de football et de rugby, les championnats du monde de handball, le Superbowl et la Formule 1 (de retour à l’antenne depuis 2018). 2019 est particulièrement riche et variée avec quatre rendez-vous mondiaux en handball, football et rugby.

IN : de quelle manière avez-vous abordé la coupe du monde de football féminin ?

F.P. : la Coupe du monde féminine est avant tout une coupe du monde de foot! Avec 25 rencontres diffusées sur TF1 et TMC, nous avons reproduit le dispositif éditorial ambitieux qui a fonctionné pour les autres compétitions. Des joueuses et spécialistes du foot féminin apportent leur expertise : l’ancienne internationale Camille Abily livre son analyse au bord du terrain lors des matchs des Bleues, commentés par Grégoire Margotton et Bixente Lizarazu ; l’ex-joueuse du PSG Sabrina Delannoy fait équipe avec Christian Jeanpierre pour les autres matchs ; l’ancienne internationale Louisa Necib, l’entraîneur Olivier Echouafni et Nathalie Iannetta collaborent au Mag de la Coupe du monde, animé par Denis Brogniart. Téléfoot suit particulièrement le parcours de l’Équipe de France et l’ensemble de la compétition. Ce magazine est en quotidienne sur le digital et TFX.

IN : l’engouement du public varie-t-il selon les sports ?
F.P. : le public aime vivre de grands moments de communion nationale autour du sport. Les grandes compétitions génèrent toujours de fortes audiences à la télévision, surtout quand l’Équipe de France est impliquée. On sent aussi une demande croissante autour du sport féminin. Sur l’ensemble des sports collectifs, l’intérêt du public monte en puissance jusqu’au début de l’événement. Pour la Coupe du monde féminine, il a débuté très tôt, ce qui était très bon signe!

IN : que faut-il attendre de l’édition 2019 de la coupe du monde de rugby  ?

F.P. : pour la première fois, le Groupe TF1 pro- posera l’intégralité de la compétition, avec 48 matchs diffusés sur TF1 et TMC à partir du 20 septembre. C’est le résultat de notre stratégie multichaîne et un signal intéressant pour le téléspectateur : dans un contexte de montée en puissance des offres payantes, toute la Coupe du monde pourra être regardée en clair! La plupart des grandes rencontres se joueront en fin de semaine, le matin. Les amateurs de rugby pourront donc suivre la compétition dans de bonnes conditions, tout en profitant de leur week-end.

La référence de la Coupe du monde 2011 en Nouvelle-Zélande nous rassure sur la capacité de l’événement à attirer un large public. Même si la situation est sportivement un peu difficile pour l’Équipe de France, une coupe du monde se joue sur des éléments très différents des autres tournois de rugby. Si l’équipe nationale gagne son premier match contre l’Argentine, son avenir dans la com- pétition pourra s’éclaircir.

IN : quel bilan du retour à l’antenne de la Formulle 1, avec quatre grands prix par an ?
F.P. : le nouveau détenteur des droits, Liberty Media, voulait redonner une exposition en clair à la Formule 1, partie en exclusivité sur des chaînes payantes. Ce modèle vertueux n’a d’ailleurs pénalisé ni le montant des droits, ni les audiences sur le payant! Pour sa première codiffusion en clair et en payant, en 2018, le Grand Prix de Monaco a été suivi par 2,2 millions de téléspectateurs sur TF1 et 900000 sur Canal+. Dès la première année, il a donc retrouvé l’audience qu’il réalisait quand il était diffusé uniquement sur TF1.

Ce sport a réussi à reconquérir un public qui continuait d’exister, mais ne pouvait plus voir les courses. L’intérêt s’est renforcé depuis que nous avons retrouvé un Grand Prix en France, une écurie française avec la Renault F1 Team, et bien évidemment grâce aux pilotes français et francophones comme Pierre Gasly, Romain Grosjean et le Monégasque Charles Leclerc, qui court cette saison chez Ferrari avec des résultats très prometteurs !

Ce Pub’Art est tiré de la Revue INfluencia n°29 : « Sport : Fair ? Play ! ». Cliquez sur la photo ci-dessous pour découvrir sa version digitale. Et par là pour vous abonner.

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