8 mai 2022

Temps de lecture : 5 min

Naturalia, Carrefour, E.Leclerc fourbissent leurs armes créatives contre la hausse des prix!

Selon l’institut d’études spécialisé IRI, les produits de grande consommation (PGC) ont grimpé de 2,9 % en avril 2022, par rapport à la même période l’année dernière. Et par rapport à mars 2022, cette hausse s’élève à 1,1 %. Du jamais vu depuis 2014. Depuis quelques mois, elles étaient jusqu’à présent limitées à quelques produits premier prix (pâtes, surgelés, huiles…). Mais depuis quelques semaines, la hausse des prix s’est généralisée et les consommateurs commencent à sentir la différence dans leur chariot de courses. Les enseignes réagissent et le font savoir par voie publicitaire.

Le bio passe aussi un sale quart d’heure, avec au cœur de tous les esprits ce fameux pouvoir d’achat qui serre les ceintures des citoyens, alors, si le cabinet d’études IRI, dit vrai, avec 5,1 % de part de marché en 2021, « le bio stagne » et la tendance se prolonge sur le début d’année 2022.
« Légère baisse de chiffre d’affaires », à 1,6 milliard d’euros malgré 81 ouvertures de magasins pour Biocoop ; un chiffre d’affaires de 385 millions d’euros en 2021, contre 395 millions de ventes en 2020, et ce malgré l’ouverture de 38 nouveaux magasins, dixit Kombini. pour Naturalia, le spécialiste bio du groupe Casino (Géant, Monoprix, Franprix, Vival ).

Raison de plus pour communiquer chez Naturalia qui lance une campagne TV pour mettre à l’honneur son offre de produits Bio ET locaux. « Les Français se tournent de plus en plus vers le local, pas forcément bio, mais à l’imaginaire rassurant, proche, frais, des petits producteurs… C’est même devenu le 1ercritère de choix pour 77% d’entre eux », explique Olivier Altmann boss de l’agence Altmann+Pacreau, « Cependant, si le local présente de vraies qualités, il devient réellement bénéfique s’il est aussi élaboré de façon plus durable...».

Au programme donc pour cette opération séduction l’offre de produits Bio qui sont aussi locaux: fruits, légumes, œufs, bières, jus, biscuits, fromages…Au total 400 références. Côté digital, trois films, matchs de tennis « aux services engagés », et pour le moins particuliers signés Thomas Leisten Schneider (DeGaulle)à découvrir ci-dessous. Et un volet affichage, où « Naturalia fait de l’affiche au kilomètre, pour démontrer que l’argument du local de Naturalia, est primordial », poursuit Olivier Altmann. Vingt visuels comme on les aime.

Des créations qui valorisent les produits locaux qu’on trouve dans les Naturalia de chaque région… symbolisés par des produits sous forme de kilométrages. Une opération qui sera déployée dans plusieurs villes clés: Nice, Marseille, Bordeaux, Strasbourg, Lyon. Enfin, un dispositif de sponsoring d’émissions sur Arte est prévu durant tout le mois de mai.

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Carrefour Bio aussi se démène pour ses consos

L’enseigne a dû fermer plusieurs enseignes dans l’hexagone, pour cause de ralentissement d’achats bio, alors on se bat, et on fête ses 30 ans avec un nouveau film TV qui remet à l’honneur, (devinez quoi ?) son engagement ! Rendre le bio accessible à tous grâce à la Prime Bio.
Des produits qui deviennent accessibles mais qui sont aussi français ! Car, pour info, 75% des produits Carrefour Bio sont fabriqués dans l’hexagone !

tous les jours -10% avec la carte Carrefour et -15% en payant avec la carte Pass sur tous les produits Carrefour BIO

Pour parler de cette Prime qui offre tous les jours -10% avec la carte Carrefour et -15% en payant avec la carte Pass sur tous les produits Carrefour BIO, rien de mieux que des familles, des colocataires, des bébés et des collaborateurs Carrefour eux-mêmes.

La campagne débute le 1er mai par la diffusion en TV d’un film de 30’’ et par un relai en digital et en social media.
Ce film marque le 4ème chapitre du territoire publicitaire ‘authentique’ déployé depuis Noël, un territoire qui nous embarque à la rencontre de familles de tous les horizons et de collaborateurs Carrefour.

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BETC brandit le bouclier anti-inflation ! pour E.Leclerc

Il faut savoir garder les prix sur terre… C’est avec cette signature ingénieuse et à double lecture que BETC lance le bouclier anti-inflation de E.Leclerc. Face à la hausse des prix des produits du quotidien et à l’inflation qui s’installe durablement, l’enseigne poursuit son combat historique ans la défense du pouvoir d’achat des Français. Jusqu’au 31 juillet, le bouclier anti-inflation de l’enseigne protégera les clients de l’enseigne d’une éventuelle hausse des prix sur une centaine de produits. Qu’ils soient de marque nationale, Marque Repère ou ECO+, alimentaire ou non alimentaire, ces produits sont parmi les plus consommés par les Français.
Mieux, si les prix de ces produits venaient à augmenter, les clients se verront automatiquement crédités en Tickets E.Leclerc sur leur carte de fidélité du montant de l’augmentation. Comme le dit la pub, il est important de tout faire pour « garder les prix sur terre ».
La campagne, orchestrée par BETC, sera déployée d’abord en magasin, puis en presse, en radio et en digital.

 

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Eh toi tu t’es cru chez Flunch ?

Il nous parle mal, ce Fred Testot. Il nous aboie dessus même en nous interpellant sur nos tics en matière de bectance. Un peu gouailleur, un peu houspilleur, et nous voilà caricaturés sous l’œil impitoyable d’Émilie Badenhorst représentée par Cream.

 

C’est que Flunch a décidé de revenir sur la scène pub, en télévision notamment, alors il fallait marquer le coup. L’agence Steve a parié sur la liberté de manger comme on veut et ce que l’on veut. Une autre manière de dire « venez comme vous êtes » de McDonalds.
Le manifesto circulera sur le digital jusqu’à la mi-juillet. Alors si vous êtes cuisine bistrot, veggie, burger, grillades, poisson à la plancha, saveurs du monde. Flunch vous en prie.

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Burger King répond aux plus folles envies des femmes enceintes

Burger King drague les futures mamans avec des Burger King faits de bâtonnets de poisson et compote de pommes, de frites et glace à la fraise , de cornichons et chantilly. Ces dernières ont pu y goûter, à Berlin, le 8 mai, jour de la fête des mères.

Vous vous en doutez, l’idée drôle et empathique est de reconfirmer s’il en était encore besoin, que les futures mamans ont de drôles d’envies pendant leur grossesse… Une enquête menée en Allemagne confirme enfin le mythe entourant ces petites folies alimentaires: pour 58 % des femmes interrogées, il s’agit d’un phénomène. 76% disent que résister à ces envies est quasi impossible… Alors Burger King® Allemagne a décidé de détendre ces victimes (un peu consentantes quand même) lorsqu’elles craquent pour à peu près n’importe quel mix bizarre…

Burger King® Allemagne a ainsi développé des sandwichs Whopper® de grossesse spéciaux avec certaines des combinaisons alimentaires les plus populaires selon l’enquête, telles que le concombre et la confiture, les bâtonnets de poisson et la compote de pommes et la saucisse au curry et le hareng frit. Le film de campagne divertissant montre les réactions étonnées et amusées des (futures) mères, de leurs enfants et de leurs partenaires face à leurs envies de grossesse. Pour donner encore plus de (futures) mères la possibilité de satisfaire leurs envies de grossesse, Burger King® proposait les extraordinaires sandwichs de grossesse Whopper® exclusivement le jour de la fête des mères en Allemagne dans un restaurant Burger King® sélectionné à Berlin.

Pour étoffer, l’enquête, voici d’autres éléments sur ces envies qui surviennent principalement au deuxième trimestre, et le plus souvent le soir (45%). Qui disparaissent généralement (et fort heureusement) à nouveau immédiatement après la naissance ou au plus tard quelques semaines après. Seulement 7% des répondantes ont confirmé que leurs envies ont persisté également après l’accouchement.

Les femmes interrogées ont déclaré que les envies de sucreries pendant la grossesse (49 %) étaient nettement plus fortes que celles d’aliments salés (31 %). 55% des répondantes ont également déclaré manger plus de fruits et légumes frais pendant la grossesse. Dans le même temps, les envies de grossesse font que les femmes mangent plus de chocolat (55%), de gâteaux (53%) et de chips (47%) notamment, ainsi que de fast-food comme les burgers (51%). Chez INfluencia, on confirme !

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