16 novembre 2011

Temps de lecture : 1 min

L’illustrateur (trice) de demain est: Caroline Guillot

La gagnante du concours organisé conjointement par Casterman, Lesieur et le magazine Be a le privilège de se voir éditer sa propre version d'un Diner de filles en BD… Une opération signée Dassas & Co.

Retour en arrière:
Début mai un concours de bandes dessinées sur le thème «Dîner de filles», était organisé par trois partenaires Lesieur, Casterman et Be.. Le brief: raconter et dessiner un dîner de filles autour d’un personnage récurrent, et croquer cette scène de la vie sociale où tout se dévoile autour d’une table sans chuchotement, ni tabou ….  Le tout en utilisant une planche de 4 à 6 dessins en noir et blanc ou en couleurs, sous forme de bande dessinée ou d’illustration.

Dans l’évaluation des illustrations, il était tenu compte du respect du thème, de la qualité du scénario et du dessin, de l’orthographe des dialogues, et plus généralement de l’inventivité de l’auteur.Les finalistes étaient invités à produire une seconde « histoire dessinée » de 4 à 6 illustrations (maximum 10) avec les mêmes personnages et les mêmes codes graphiques que dans la première proposition. Cette deuxième planche devait être accompagnée d’un descriptif des personnages principaux et d’une qualification du graphisme.

A la clef:  l’édition de l’album original par les éditions Casterman, une collaboration dans le magazine Be et un partenariat avec Lesieur.

Et c’est finalement Caroline Guillot, une graphiste dans une agence web de 28 ans  qui a remporté le concours.

 Au final, un dispositif original, imaginé par Dassas &Co,  qui ne manquera pas de donner la parole à Lesieur  et de nouer un dialogue avec un public plus jeune. David Garbous, Directeur Marketing  de la marque le souligne en effet:« c’est  bien souvent entre 20 et 30 ans, entre la fin des études et l’entrée dans la vie active, que l’on fait ses premiers essais culinaires. La transmission familiale conditionne parfois ces premiers choix, mais la contrainte économique pousse souvent ces jeunes foyers à s’orienter vers les marques de distributeur. Il est donc essentiel pour Lesieur de pouvoir instaurer un dialogue à ce moment clé de la vie. Le choix de ce concours reflète tout à fait cette ambition. La bande dessinée est très bien représentée auprès de cette cible et c’est donc un excellent moyen d’installer une conversation entre la marque et son public ».

Faire une bande dessinée pour promouvoir une marque  comme Lesieur auprès des jeunes actifs, voilà un dispositif bien huilé !

Gautier Huet

Voici les planches !

   

    

    

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