Hinge célèbre la beauté de l’imperfection dans sa nouvelle campagne européenne
Avec sa campagne “Where Hinge Ends, We Begin”, l’application de rencontre Hinge célèbre l’authenticité dans les relations amoureuses. Un hommage à ces instants imparfaits où la vulnérabilité crée de vraies connexions.
Alors que les codes des apps de rencontre ont longtemps favorisé la séduction par l’optimisation – de son profil, de ses photos, de sa “catchline” –, Hinge prend le contre-pied. Conçue pour être supprimée, la plateforme met depuis plusieurs années en avant la sincérité, la durée et la qualité du lien. Cette nouvelle campagne en est une incarnation directe. Elle mise sur l’honnêteté émotionnelle plutôt que sur l’image parfaite, et célèbre tous ces petits moments de gêne, de maladresse ou de simplicité qui donnent du sens à la relation.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 93 % des utilisateurs de Hinge préfèrent sortir avec quelqu’un qui se montre vulnérable, et 66 % sont plus enclins à accepter un second rendez-vous si cette sincérité est perceptible dès le départ. En assumant ce positionnement à rebours du culte de la perfection, Hinge répond à une attente générationnelle : celle de relations plus vraies, plus ancrées, plus humaines.
Des histoires d’amour… vues par Hingie
La campagne met en scène Hingie, la mascotte fétiche de l’appli – ce petit personnage qui « meurt » à chaque fois qu’un couple se forme et que l’application est supprimée. Dans les nouveaux films, on suit Hingie dans une série de flashbacks qui racontent l’histoire du couple depuis le moment de la rencontre. Ces récits à rebours révèlent les instants de vérité, les failles, les silences ou les regards qui disent plus que n’importe quelle bio Tinder.
Chaque version du film est adaptée aux codes culturels locaux. En France, la campagne a été pensée avec des utilisateurs et des scènes familières – balades sur le littoral, virées au marché, dîners improvisés – qui ancrent la narration dans le quotidien des jeunes adultes français. On y parle moins de “dates” que de moments partagés, dans une esthétique douce, cinématographique, presque documentaire.
Une narration visuelle tout en nuance
Pour donner vie à cette narration intime, Hinge a fait appel à la réalisatrice Marie Schuller, connue pour son style visuel élégant et sa capacité à capturer l’émotion dans l’ordinaire. Produits par Pine, les films distillent une ambiance feutrée, poétique, loin des archétypes du dating publicitaire. Ici, pas de punchlines ni de glamour forcé : juste des fragments de vie amoureuse où l’on ose bégayer, douter, se dévoiler. Comme l’explique Jackie Jantos, présidente et directrice marketing de Hinge : « Nous voulions célébrer ces instants magnifiquement imparfaits, parfois gênants mais profondément humains, qui surgissent quand on cesse de performer pour simplement être ».
Avec cette campagne, Hinge confirme sa volonté de construire une plateforme de marque cohérente, ancrée culturellement et résolument tournée vers une vision alternative des rencontres. Après Designed to Be Deleted en 2023 et The Moment I Knew en 2024, Where Hinge Ends, We Begin prolonge cette ligne éditoriale singulière et empathique, en s’adressant à une génération lassée des jeux de façade. Entre storytelling sensible, esthétique décalée et stratégie de contenu localisée, Hinge s’impose comme l’un des rares acteurs du dating à renouveler l’imaginaire amoureux… en misant sur ce qu’il y a de plus fragile : notre vérité.
