13 décembre 2022

Temps de lecture : 2 min

Demain sera BEAU

Lancer un titre quand certains ont diminué leur pagination, d’autres augmenté leur prix ou stoppé leur parution en kiosque pour faire face à la pénurie du papier, aux crises et au recul des ventes de journaux et magazines, il fallait oser. Un pari d’autant plus audacieux que ce trimestriel s’appelle « BEAU ». Tout un programme.

Pourquoi le beau ? « Parce qu‘il se trouve partout, dans la force d’une oeuvre artistique, l’envoûtement d’une lecture, un plissé de soie, le geste créatif, la délicatesse d’une fragrance inconnue, un coucher de soleil… Parce que le beau met en lien. Inspire et sème un nouvel imaginaire, remet l’humain à sa place », répond la revue. « Nous voulons poser un autre regard sur l’existant. Et dans cette période troublée, en capturer ses promesses. Le faire dans un nouveau média. Un magazine suffisamment indépendant pour raconter et défricher le beau de l’époque, et l’appeler BEAU tout simplement. Beau magazine s’éloigne de l’information continue qui sculpte notre époque, pour aller à la rencontre de celles et de ceux qui agissent, capturent les promesses de la vie, renversent les notions de superficialité́. Il concrétise aussi les retrouvailles d’une équipe qui s’est battue pour son indépendance éditoriale. Nous croyons en une presse qui cultive un optimisme offensif », explique Charlotte Roudaut, rédactrice en chef.

Le premier numéro a pour thème « Demain » Il est parrainé par Edgar Morin. A plus de 100 ans, le philosophe éclaire dans une interview exclusive de 8 pages sur la nécessité de l’émotion esthétique pour avancer dans une période troublée. Au sommaire également un nouveau réseau social dans une laverie à New York, la ferme savoyarde qui affole l’univers de la mode d’Emma Bruschi, le beau du chef militant doublement étoilé Alexandre Gauthier, la nouvelle garde d’artisans lisboètes, le sacre d’une cosmétique engagée et bourguignonne qui conquiert l’Amérique, la chanteuse et poétesse Patti Smith, la librairie qui a sauvé le livre à Tokyo et un voyage avec Vahram Muratyan, pour zéro empreinte carbone ! Et 90 adresses pour tout réinventer.

Beau magazine est réalisé par l’équipe historique du GRAZIA France, et aussi Jean-Michel Djian, Philippe Azoury, Nathalie H. de Saint Phalle, The Social Food… et des correspondants dans le monde pour faire émerger des récits inédits d’une jeune garde créative, et des artistes, illustrateurs, photographes, : Iván Argote, Vahram Muratyan, Alexis Armanet, Stéphane Coutelle… Il est imprimé à Poitiers sur du papier issu des forêts européennes durables, à l’encre végétale et à la feuille pour ne pas avoir de perte papier.

« L’indépendance éditoriale de BEAU magazine est assurée par ses actionnaires privée (aucun groupe industriel, mass média n’est présent dans le tour de table), par la pub dont la présence est raisonnée et (de par son prix) par ses lecteurs , explique sa rédaction. Depuis le lancement deux campagnes d’abonnement nous ont déjà permis de constituer un bassin d’abonnés qui nous confortent dans le fait que notre magazine était attendu, et reçoit un bel accueil ». Le premier numéro a été diffusé à 22 000 exemplaires sur 4629 points de vente Kiosques & Relay mais le magazine est aussi en librairies, FNAC et dans quelques points de vente.

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