15 novembre 2019

Temps de lecture : 2 min

Death Stranding poursuit son histoire IRL avec Biborg

Entouré de mystère depuis les premières révélations, Death Stranding, le nouveau jeu d'Hideo Kojima sortait sur Playstation 4 ce 8 novembre. Pour son lancement en France, PlayStation a choisi Biborg pour orchestrer une chasse au trésor online et IRL avec à la clé une besace pleine de cadeaux. Une activation énigmatique et inventive, à l’image -irréprochable- de son produit. 

Entouré de mystère depuis les premières révélations, Death Stranding, le nouveau jeu d’Hideo Kojima sortait sur Playstation 4 ce 8 novembre. Pour son lancement en France, PlayStation a choisi Biborg pour orchestrer une chasse au trésor online et IRL avec à la clé une besace pleine de cadeaux. Une activation énigmatique et inventive, à l’image -irréprochable- de son produit.

Il y a 6 ans, au salon de l’E3 qui se déroule chaque année à Los Angeles, était dévoilé ce qui allait devenir le projet le plus mystérieusement délicieux de l’industrie vidéoludique : Death Stranding, la nouvelle production du tout puissant Hideo Kojima. Le teaser de l’époque, radicalement énigmatique, laissait présager de la part de l’équipe nipponne une communication cloisonnée, Kojima Production préférant faire monter la sauce pendant 3 ans en ne disséminant qu’une poignée d’indices sur le gameplay et le concept même du jeu. Selon l’Hideo de l’époque, son oeuvre allait demander au joueur de : « de reconnecter des villes isolées et une société éclatée. Nous l’avons conçu de sorte que tous les éléments, y compris l’histoire et le gameplay, soient connectés entre eux par le thème du « lien » ». Allez comprendre.  Mais la très bonne réputation du bonhomme, portée par la saga à succès Metal Gear Solid, et l’annonce d’un casting cinq étoiles, composé de Norman Reedus, Mads Mikkelsen, Léa Seydoux, Guillermo Del Toro et j’en passe- ont rendu les communautés de gamers hystériques jusqu’à la sortie du jeu le 8 novembre dernier. Et quand on a autant bossé son sujet, ça serait bête de lâcher la bride.

« Maitriser son sujet » en japonais

Pour accompagner son lancement officiel sur le sol France, PlayStation -la console de Sony, qui est l’éditeur du jeu- poursuit l’oeuvre d’Hideo Kojima en décriant cette thématique du lien. Le 28 octobre dernier, la firme américaine a lancé une chasse au trésor à très grande échelle, pensée par PlayStation et développée par Biborg. Le jeu, composé d’une multitude d’indices à la fois on et offline, se déroule dans plusieurs régions de France, avec à la clef de nombreux lots à gagner -des PS4 édition limitée Death Stranding, des collectors du jeu, des produits dérivés Kojima Productions dédicacés par Hideo Kojima ainsi que des dotations fournies par des partenaires présents dans le jeu telles que les lunettes JFRey et  Monster Energy.

 

Pour mettre la main sur le magot, les participants doivent se connecter sur les réseaux sociaux de Playstation et résoudre des énigmes reprenant les thématiques du jeu pour découvrir l’emplacement des fameux « fragments de code ». Les ultimes pièces du puzzle qui vous conduiront sans aucun doute vers la gloire éternelle. Le groupe de musique Bring Me The Horizon, dont la chanson Ludens est dans le jeu, fait également partie de l’aventure. Mais qu’on ne s’y trompe pas, la firme américaine ne vous demande pas de battre le pavé façon Pokémon Go. Chaque indice renvoie vers  les magasins Micromania, sur le stand PlayStation pendant la Paris Games Week, dans les pots de pop corns des cinémas du réseau CGR, et même vers la couverture du média 20 minutes. Un bon moyen de générer du trafic entre son dispositif RS et ses lieux de vente.

« Pour ce jeu énigmatique conçu par une légende de l’industrie du jeu vidéo, PlayStation nous a confié la production d’une chasse au trésor online et IRL. Au-delà de son ampleur, elle rend aussi hommage à l’univers culturel de Hideo Kojima et à ses quelques messages de teasing mystérieux qui ont intrigué les fans depuis quelques mois », conclut Valentin Hugon de Biborg.

 

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