4 décembre 2025

Temps de lecture : 3 min

« Le social selling, c’est vendre sans vendre » : comment Dire réinvente la performance sur les réseaux sociaux

À l’occasion de la sortie de son Livre blanc sur le social selling, l’agence Dire dévoile sa vision : fini les raccourcis, place à un écosystème digital intelligent, orchestré et mesurable.

(Article sponsorisé) Avec son nouveau livre blanc sur le social selling, l’agence Dire propose enfin une méthode claire, actionnable et pragmatique du social selling, loin des fantasmes, proche du terrain et au plus près du business. Une vision qui devrait parler à toutes les marques cherchant à sortir du court-termisme pour renouer avec une influence réellement performante.

Léonie Brun, directrice associée de Dire, revient pour INfluencia sur la maturité du marché, la fin des illusions et la nécessité d’un full funnel enfin cohérent.

INfluencia : Pourquoi publier ce Livre blanc maintenant ?

Léonie Brun : 2025 marque un tournant. Le marché est enfin assez mature pour entendre un discours exigeant sur le social selling. Pendant longtemps, l’influence faisait peur : pas de budget, peu de rationalisation, beaucoup d’attentes irréalistes. Aujourd’hui, nous voyons émerger une nouvelle génération de responsables digital et influence, structurés, exigeants, qui veulent comprendre comment créativité et performance peuvent aller ensemble.

Dire a 10 ans cette année. Nous avons passé une décennie à accompagner des marques, à prouver que nos convictions fonctionnent, à recruter des profils seniors capables de porter cette vision. Il était temps de poser noir sur blanc une méthodologie solide, opérationnelle et actionnable — pas un énième rapport qui reste au plafond.

INfluencia : Le social selling promet de “vendre sans vendre”. Mais concrètement, comment transforme-t-on une interaction en conversion ?

Léonie Brun : D’abord, on oublie le fantasme de la vente instantanée. La conversion est un chemin, jamais un claquement de doigts. Tout repose sur la répétition et la cohérence : multiplier les points de contact avec des contenus utiles, émotionnels, immersifs. Le client doit voir la marque, l’aimer, l’intégrer, comprendre ce qu’elle peut lui apporter… avant de cliquer.

Le Livre blanc rappelle d’ailleurs que la vente se construit dans le scroll, dans l’émotion, dans les signaux faibles répétés, “un tag, un post sauvegardé, un commentaire repéré”.

Une prise de parole isolée ne transforme pas. Ce sont les contenus organiques, l’influence, l’UGC, les posts propriétaires et l’amplification qui, ensemble, apportent la répétition nécessaire.

INfluencia : Vous expliquez aussi que les marques ne vendent plus seules. Qui vend aujourd’hui ?

Léonie Brun : L’écosystème, tout simplement. Ce ne sont plus seulement les marques qui portent la preuve : ce sont les créateurs, les clients, les collaborateurs, et même la communauté elle-même sur TikTok. Notre métier consiste à orchestrer ces relais de confiance. C’est la fin d’un modèle vertical où la marque contrôle tout.

Le message ne doit plus être détenu uniquement par la marque, mais relayé par un écosystème.

INfluencia : Comment organiser un dispositif performant et mesurable ?

Léonie Brun : En plaçant les bons leviers en face des bons objectifs. Beaucoup de marques veulent générer un maximum d’impressions… tout en exigeant en même temps un ROAS exceptionnel. Impossible. Il faut accepter que chaque étage du funnel a ses KPI : notoriété, considération, trafic, conversion, fidélisation. On ne mesure pas tout avec le même thermomètre.

Le rôle d’une agence comme Dire, c’est d’aider les marques à comprendre où elles en sont, ce qui doit être amplifié, ce qui doit être séquencé, et comment orchestrer notoriété, considération et conversion sur l’année entière.

INfluencia : Vous défendez une approche full funnel. À quoi ressemble-t-elle concrètement ?

Léonie Brun : Elle ressemble à ce que nous faisons avec Dyson depuis cinq ans. Au départ, l’influence était cantonnée à la communication. Puis nous avons embarqué le marketing, l’e-commerce, les boutiques. Aujourd’hui, nous travaillons avec une pyramide d’objectifs annualisée, des campagnes d’image, des contenus créateurs, des UGC, des temps forts de conversion… et des campagnes éphémères très calibrées.

L’influence ne vend pas seule. Mais elle vend très bien quand elle est orchestrée dans un parcours cohérent.

INfluencia : Le social selling implique-t-il forcément de gros budgets ?

Léonie Brun : Non. On ne paie pas pour exister, on paie pour accélérer. C’est ce que rappelle notre Livre blanc : l’organique crée la crédibilité, le paid crée la scalabilité. L’un sans l’autre fonctionne… mais ensemble, c’est imbattable.

INfluencia : Une dernière conviction à transmettre aux marques ?

Léonie Brun : Le social selling, c’est une discipline d’agilité. Ce qui marche aujourd’hui ne marchera peut-être plus dans trois mois. Il faut tester, analyser, ajuster en continu. Et surtout comprendre que la conversion est une conséquence, jamais un point de départ.

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Pour accéder au livre blanc complet c’est ici : Voici le lien vers le livre blanc : https://lelivreblanc.dire.agency/ 

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