9 décembre 2025

Temps de lecture : 13 min

[EN DIRECT] Paris Creator Week : les coulisses de l’événement européen incontournable de la creator economy – 2e jour !

Pour la Paris Creator Week les 9 et 10 décembre 2025 à Station F à Paris, INfluencia vous invite dans les coulisses de l’événement européen incontournable de la creator economy.

Le plan large :

Le salon en direct :

Mercredi 17:40

Clap de fin pour INfluencia, le dernier soldat Axelle rentre à la base

Axelle plie bagages, Sacha s’est éclipsé discrètement (mais ayant écrit 35 pages de lives, il a des raisons d’être un peu rincé).

Merci à toutes et à tous de nous avoir suivis ! ❤️❤️❤️

Mercredi 17:15

Vintage Tran : « quand on sait créer des vidéos, on sait le faire sur n’importe quoi … »

Axelle a interrogé Vintage Tran, créateur de contenus qui faisait du parcours (sur les toits de paris) et a subi un grave accident, où il a failli y laisser la vie (200 fractures).

Il a évidemment du adapter ses contenus et formats à une nouvelle ligne éditoriale… Les abonnés l’ont-ils suivi ? Il nous raconte ça dans la vidéo :

Mercredi 17:12

Financer des influenceurs, trop risqué ? Tout peut s’écrouler avec un bad buzz ?

Pour la BNP oui, c’est un risque « historique » clairement identifié. Mais les créateurs ont compris l’importance de pérenniser leurs revenus et de se diversifier. Et c’est précisément le rôle des banques (dont la BNP) de les accompagner dans cette démarche.

Mercredi 17:08

Les formats live de demain : les ligues de sport

Pour Gregory Camacho (stratégie Twitch France) : on voit des ligues nationales de sports qui naissent sur Twitch, comme la KingsLeague par exemple (compétition de futsal).

Cela rejoint les efforts de Zack Nani – voir ci-dessous dans le live de ce matin – qui a racheté les droits du championnat de football saoudien et de l’équipe de France Espoirs.

👉 Un jour verra-t-on la Ligue des Champions diffusée par un influenceur sur son espace ?
👉 Les chiffres fous réalisés par GP Explorer 3 laissent penser que ce n’est peut-être pas un rêve inaccessible.

Mercredi 17:01

Les indicateurs du succès (KPI en bon anglais) pour un streamer?

Pour Pape San, un live réussi s’évalue à : nombre de messages, nombre de clips et nombre de viewers.

Raoul ajoute : le pic de viewers, est aussi important ».

Mercredi 16:55

Pour les collabs avec les marques deux questions cruciales à se poser selon Raoul :

« Il faut toujours se poser deux questions :

  • Comment s’intégrer au narratif du créateur – Pape le sait mieux que moi, il n’irait pas collaborer avec des marques contraires à ses valeurs – et

  • Comment la marque peut gérer l’interaction avec les audiences du créateur »

Mercredi 16:48

Raoul : « C’est même l’OMS qui avait conseillé pendant la pandémie de regarder du live streaming pour justement les pousser à rester chez eux »

👉 Quand tu penses que sans l’OMS, y’aurait pas de directs et de live streaming… Comment ça, c’est exagéré ?

Mercredi 16:40 (environ, toujours à la bourre !)

Pape San: le live est aujourd’hui le format le plus important pour un streamer

« À la base, je faisais beaucoup de reportages et d’interviews via YouTube sur la société coréenne. Malheureusement, la pandémie a tout arrêté et c’est à ce moment que je suis tombé sur l’émission J’irai dormir chez vous… (…)

La Corée, ou j’habite, est un pays particulièrement sensible au live IRL. C’est aujourd’hui le format le plus important pour un streamer. Pour toutes ces raisons… je me suis lancé »

Mercredi 16:30 (environ, on a du retard !)

Live streaming, le labo des formats du futur ?

Retour « MainStage » avec une conférence qui tient particulièrement à cœur de Sacha : « Live Streaming: laboratoire des formats de demain ? ». D’émotion, Sacha se fend d’un EXCELLENT jeu de mot :

« Qui de mieux que Pape San, le pape (excusez le jeu de mot…) du live streaming français pour s’exprimer sur le sujet, en compagnie de Grégory Camacho, responsable de la stratégie Twitch en France et de Raoul Leibel, directeur de Webedia Live stream ».

Mercredi 16h

Abrège frère : « beaucoup (de banques) pensent que ce n’est pas un métier »

« Je peux essayer de les comprendre dans le sens où ils ne sont pas encore à jour… (…) mais y’en a certaines qui commencent à bien le comprendre… »

👉 Et pour celles qui auraient des doutes, je les invite à regarder les chiffres en intro ci-dessus. 💲💲💲

Mercredi 16h

Et pendant ce temps, Manon affronte « Abrège frère » au quiz musical

On s’amuse bien dans les tables rondes, mais y’en a qui bossent leur culture gé musicale. Et à ce jeu, Abrège frère n’a pas l’air mauvais…

Mercredi 15h50

Plus 74% d’investissement des annonceurs prévus l’an prochain…

Le marché de l’influence grossit, grossit depuis plusieurs années, jusqu’à l’explosion de la bulle demande Axelle à Kolsquare, plateforme de Marketing d’Influence ?

Pas du tout si on en croit les prévisions du dernier baromètre de Kolsquare dont nous avions parlé fin novembre 2025. Mais des » rationalisations, convergences, le marché se structure… » nous explique Alix ci-dessous :

Mercredi 15:45

« En linéaire comme en digital, la liberté créative s’arrête toujours… aux goûts du public »

Théo Macel conclut cette table ronde assez en phase avec ce que disait Audrey un peu plus tôt :

« En TV comme ailleurs, le plus important c’est le talent. Quand tu arrives avec un programme, la première question c’est « ok c’est super, mais quel talent va l’incarner »

👉 En gros pour que ça marche, il faut du talent, une incarnation et un peu de chance : entrer en résonance avec le goût du public.

Mercredi 15:45

« On n’est plus dans la gestion d’un format ou d’un unitaire, aujourd’hui’, tout se reconstruit autour de cette complémentarité entre linéaire et digital »

Dixit Audrey Bensousson, de Vorace (sur la photo en quatrième à partir de la gauche).

Mercredi 15:38

Théo Macel (Humains TV) : « C’est un grand bazar les réseaux sociaux, déjà parce que le digital veut tout et rien dire… mais j’aime ce bazar.

« Ce qui m’impressionne chez les créateurs d’aujourd’hui, c’est leur capacité à construire tout un écosystème. Si demain Youtube disparait, et bien on pourra quand même acheter du Ciao Kombucha, ou acheter le livre de Léna dans les librairies, etc. »

Mercredi 15:18

« Le digital est forcément un secteur dans lequel on est obligé d’investir… sinon je ne serais pas venu (rires)»

Dixit Jean-François Rubinstein de Endemol : « …et surtout beaucoup plus à l’avenir, notamment pour inventer de nouveaux modèles et de nouveaux traitements pour nos « IP ».

Alors, « IP », dans le jargon des lieux, ça veut dire « propriété intellectuelle ». Donc, par extension, émission, série, production de toute nature à laquelle est associée une propriété intellectuelle.

👉 Donc, du pognon, du cash, de la maille. L’acronyme dit tout 😂

Mercredi 15:05

Quels ponts entre créateurs et production TV/cinéma ?

De retour sur la seconde scène de la PCW pour la keynote « Producteurs, quel avenir sur le digital ? » afin de continuer la discussion sur les ponts entre creator économie et production TV/Cinéma.

Les speakers : Jean-François Rubinstein (Endemol), Gwenola Masurel (Fremantle), Théo Macel (Humains TV), Audrey Bensoussan (Vorace).

Mercredi 14:15

Les agences de créateurs s’occupent de tout, de la production, à la monétisation

C’est le cas de celle-ci : Green Bull Media, qui a carrément transplanté son studio au coeur de la Creator Week. Et apparemment, même si vous n’avez pas d’idée, elle peut vous aider…

Mercredi 14:00

4,6 millions € levés sur Ulule, record d’Europe

Et le grand gagnant a été… Jean-Marc Jancovici, pour The Shift Project. Pas tout à fait l’image qu’on se faisait du créateur de contenu type, mais c’est un gros influenceur en fait…

Mercredi 13:58

« Je suis tout à fait favorable à faire du placement de produit pour financer des films »

… tant que ce n’est pas du brand content… et qu’on ne tort pas le cou à la création » précise Dominique Farrugia.

Mercredi 13:54

« Inoxtag avec Kaizen, en termes de complémentarité cinéma/plateforme, c’est le meilleur de ce qui a été fait »

Dominique Farrugia poursuit : « Ce que j’admire chez les créateurs c’est la valeur et la puissance d’une idée. Si une idée est bonne, vous y allez.

Avec les Nuls, c’était pareil, on écrivait parfois une dizaine de sketchs par jour et pour les mettre en boite, on comptait dans nos rangs des techniciens qui apprenaient le métier en même temps que nous »

Mercredi 13:43

« Quand on préparait La Cité de la Peur avec mes camarades, on nous disait : « mais c’est impossible de venir de la tv pour faire du cinéma » »

Dominique Farrugia raconte : « On a frappé à toutes les porte, on avait pas de pognon pendant longtemps… Donc pour moi, être producteur de cinéma en venant de la tv, c’est une énorme fierté ».

Mercredi 13:40

« Aujourd’hui c’est facile de prendre la caméra et de faire un film »

Elisha Karmitz poursuit :

« Il y a 30, 50 ans pour être réalisateur, sans même parler d’école de cinéma, il fallait d’abord être 3ème réal, puis deuxième assistant pendant un certain temps… c’était la norme, c’était la règle. La réaction de mai 68 a d’abord été de casser ces règles là »

👉 Et aujourd’hui, la baisse des coûts d’entrée, l’apparition des plateformes de diffusion ouvertes (les GAFAM) démocratisent un peu plus l’accès à la création. Mais attention, c’est plus ouvert qu’avant, mais comme toujours, il y a beaucoup d’appelés, peu d’élus.

En témoigne l’étude Kolsquare qu’on avait relayée et ce chiffre édifiant : 56% des créateurs gagnent moins de 1000 € par mois !

Mercredi 13:36

Comment raconter, produire et faire circuler un film quand l’attention… et les formats sont redéfinis par les créateur de contenu ?

Fin de la pause déj’, c’est reparti !

Place à la keynote « Produire et distribuer des films à l’ère des créateurs » en compagnie de Dominique Farrugia, tête pensante de Shine Fiction et ancienne star des Nuls et de Elisha Karmitz, de MK2.

Mercredi 12:20

Du côté des stands, ça chille carrément moins

Y compris pendant la pause déj’. D’ailleurs, notre équipe, elle, part manger. A tout à l’heure.

Mercredi 11:45

Côté ambiance, un peu moins bondé ce matin

Mais, ça discute quand même grave business sur les canapés cosy (oui, ça chille un peu aussi). Admirez la sculpture en pâte à modeler et la cabine téléphonique « safe zone ».

Un petit côté régressif et nostalgique. On valide.

Bon, Sacha me glisse dans l’oreillette qu’il a vu « courir Jokariz un peu partout dans les allées du salon ». Pour rappel, c’est le big boss qui a créé l’event et qu’on avait interrogé en amont.

Mercredi 11:35

Les créateurs, futurs gros diffuseurs des compétitions de foot ?

C’est en tout cas l’une des ambitions de Zack Nani qui a racheté les droits du championnat de football Saoudien et de l’équipe de France Espoir, une première !

« Cet été, on m’a contacté pour me dire que Canal ne reprendrait pas la Saudi Pro League… après avoir constaté que le prix était atteignable (rires), je me suis tout de suite positionné ».

Mercredi 11:20

Faire long, impossible en 2026 ?

Pour Zack, « ce n’est pas qu’une question de temps mais de rythme et de format. Si vous gérez ces deux paramètres, le public consommera vos contenus longs… même si cela doit être en plusieurs fois »

👉 On est tout à fait d’accord, et d’ailleurs, on en parlait ici : créateurs de contenus : les formats qui cartonnent et les leçons que les médias doivent en tirer

Mercredi 11:15

Zack Nani : « j’ai fait du stream toute ma vie d’adulte »

On a basculé sur une autre keynote : « Rencontre avec Zack Nani : quand les streamers bousculent les règles du jeu » modérée par Virginie Douin qui a la (lourde) fonction de gérer les créateurs sur Twitch.

Zack revient sur les origines de sa carrière « J’ai commencé Twitch en 2015 mais mes premiers streams remontent à 2013. Donc j’ai fait du stream toute ma vie d’adulte ».

👉 Ça montre aussi que la route est longue pour tous les apprentis influenceurs… Il faut produire du bon contenu beaucoup (280 émissions pour Zack), régulièrement et longtemps !

Mercredi 11:10

« Il faut avoir un très bon bon expert comptable parce que les chiffres peuvent être compliqués (rire) »

C’est l’un des conseils d’Abrège Frère (voir ci-dessous), l’un des short form influenceurs les plus cotés depuis 2 ans. Ça, en sus d' »être très bien accompagné… par un agent, déjà, par une banque capable d’accompagner ce type de projet ensuite »…

Mercredi 11:00

« Un créateur de contenu… c’est plus qu’un chef d’entreprise car il doit être capable de multiplier toutes les casquettes« 

C’est Nawal Stouli (Loopin) qui le dit dans l’autre conf’ sur laquelle on a basculé (oui, ça enchaîne 😅)

Alexandre Jacquemin de BNP Paribas ajoute : « On considère d’ailleurs que pour 100 entrepreneurs, tu as 100 histoires différentes à traiter dans un registre entrepreneurial ».

👉 Ce « sur-mesure », c’est beau, m’sieur Girard (oui, une ref’ de vieux).

Mercredi 10:45

« Aujourd’hui, on n’est plus limité par un catalogue de 40 titres »

Bertrand Etienne explique aussi que tous types de musiques peuvent fonctionner selon les publics, y compris du jazz !

Mercredi 10:45

« L’IA ne peut que compléter l’humain. C’est l’artiste qui l’utilise qui sera ensuite rémunéré »

C’est la conviction de Bertrand Etienne, qui évoque aussi en filigrane la question budgétaire :

« Aujourd’hui toutes les marques ne peuvent pas se payer un gims pour leur spot. Pour ne pas se tromper, il faut qu’elle se demande avant toute chose « qu’elle est mon image de marque ? Un logo , un code couleur, une typo.. les marques ne vont jamais en dévier. Il faut qu’elles cultivent la même cohérence pour la musique ».

Mercredi 10:15

3 milliards de stream cumulés sur YouTube et tiktok, une centaine d’artistes et plus 250 000 titres

Voila ce que pèse Epidemik sounds… dans cette première conf’ du matin: « Turn Up the Volume: Utiliser la musique pour construire une marque différenciante » (ou comment élaborer unbranding sonore) avec :

Bertrand Etienne (Epidemic Sound)
Karim Amazit (Sarenza.com)
Modérateur: Ulysse Hennessy (Billboard France)

Mercredi 10:03

C’est reparti pour la 2e journée, avec la team de choc pour vous faire vivre le truc

De gauche à doute : Manon (Community manager), Axelle (responsable marketing ET reporter), Sacha (journaliste).

Si vous avez des questions, des points que vous voulez qu’on creuse, des récriminations (non, ça vous les gardez), envoyez vos questions à : redaction@influencia.net

17:48

That’s all folks ! C’en est fini du live pour aujourd’hui

Mais on vous prévient : on revient demain aux aurores (pour un journaliste) : 9h ! Pour couvrir un programme chargé. Avec notamment :

  • Transparence de l’influence : combien ça coûte ?
  • Utiliser la musique pour construire une marque différenciante
  • Rencontre avec Zack Nani : quand les streamers bousculent les règles du jeu

Bonne nuit !

17:15

« Les gens veulent enrichir cette relation : aller les voir en tournée, participer à des watch parties, acheter les produits de leur marque. »

Donatien Bozon (ci-dessous) poursuit : « acheter un produit, c’est une extension de cette relation (avec les créateurs de contenus). Mais cela doit être un bon produit, pas seulement un objet de fan. Nous voulons créer des produits suffisamment qualitatifs pour remplacer un équivalent industriel classique. »

👉 Retrouvez son interview complète dans la newsletter Influencia de demain

👉 Lire aussi : Quand Les Watch Parties rebattent les cartes en pensant l’événement collectif à l’ère du streaming

16:35

« En France, nous avons encore un léger retard sur la manière de construire les campagnes« 

Pour Thomas Angerer (de l’agence Beinfluence), on a tendance « à partir des créateurs, les placer au centre du dispositif, plutôt que d’avoir une idée, très bonne parfois, à laquelle on « accroche » ensuite des talents pour pouvoir dire que l’on fait de l’influence. »

Il nous expliquait cela en amont de la Creator week.

16:00

Samuel Etienne : « la télé est encore très puissante et elle va se réinventer, mais le fera-t-elle suffisamment vite… ? »

Et avec suffisamment de talent pour ne pas être prise de vitesse… ». Ecoutez sa réponse complète à notre question perfide : « la télé est-elle morte, c’est pour ça que vous êtes allé sur Twitch ? »

14:50

Samuel Etienne, se frotte au défi musical

L’influenceur sur Twitch (« La matinée est tienne » – gros, gros volume de jeu de mot) s’est essayé au même challenge que Manon et Axelle. Mais a-t-il été aussi brillant ?

14:10

Ambiance psychédélique à Station F, c’est ça la « start-up nation » ?

Ballons géants à motifs colorés, néons, toits floraux, arbres géants… ambiance californienne en somme. Très sympathique visuellement. Quant au niveau sonore… Hors des salons, ça doit être mieux 🙂

13:50

Manon et Axelle : pas de salade entre nous

Non, en fait, couvrir le salon c’est trop énergivore : il faut de la calorie pour tenir. Mais il y a deux teams : mayo (Manon à gauche), ketchup (Axelle à droite).

13:38

C’est l’heure de se restaurer, gros succès du stand de burgers.

En revanche, pas question de bouger pour prendre des clichés alentour: « les places sont chères » explique Axelle.

12:38

Dire, Favikon, Kolsquare, … Agences d’influence, outils pour les créateurs, technos publicitaires et de mesure de l’influence…

👉 Quand on voit les montants en jeu (voir ci-dessus), on comprend l’effervescence, et la motivation des exposants.

La liste complète des exposants se trouve dans la petite brochure distribuée à l’entrée…

On avait oublié les diffuseurs (Dailymotion, Spotify, Youtube), la société de gestion des droits d’auteur (Scam), des mutuelles pro (Audiens) des banques (BNP) et une plateforme de monétisation (Ullule)… Bref, tout l’écosystème est là.

👉 Plus des marques « cool » évidemment. Beaucoup de thé… Est-ce la boisson préférée des influenceurs ? Ça mérite un sondage !

11:38

Au challenge musical, Manon a gagné un jeu de société (et c’était pas si facile)

Il fallait deviner Pharell Williams et la bonne période : les années 2000, ove course.

« Hitster », c’est le nom du jeu de société gagné de haute lutte (ci-dessous, à droite). Le défi : des cartes avec un QR code, scan… le son part. Il fallait deviner le morceau et le mettre sur une case. Ensuite, deuxième extrait : sorti avant ou après le 1er ?

On appelle ça le talent 😅

11:22

Dans les travées, ça s’agite pour le business…

11:19

L’influence européenne pourrait totaliser 26,7 millions de créateurs et 135 milliards d’euros en 2032

Pour Jokariz, « les créateurs ne sont plus de simples acteurs sociaux, mais une force économique structurante ».

La France se situe dans le trio de tête. Voir tous les chiffres de cette étude

11:00

Marc Lesage-Moretti, alias Jokariz, celui qui veut faire de Paris, la capitale mondiale de la « creator economy« 

Jokariz pilote la deuxième édition de ce salon qui réunit 4 000 professionnels de l’influence et du marketing. Ambitions internationales, structuration du marché et nouveaux projets… il nous a livré sa vision pour le futur de la Creator economy (et de son salon).

10:40

«  Le Banijay Creators Lab » est un entremetteur, un intermédiaire entre les deux mondes» Justine Ryst – DG YouTube France

Justine Ryst, ci-dessous deuxième en partant de la gauche. Le but de ce challenge ? Proposer à des créateurs de réinventer une émission culte de la télévision française pour YouTube.

👉 Un partenariat malin entre une société de production et un diffuseur pour repérer les talents et créer du buzz. Un peu le successeur des fameux « radio-crochets » d’autrefois.

Ou plus récemment… The Voice, Star Academy et autres Pop Star… 🎤

10:25

Kyan Khojandi : « les marques peuvent être en colère qu’on marche sur leurs plates bandes »

« Mais les marques de créateurs et d’artistes apportent un nouveau public, nouvelle approche. Et on fait redécouvrir des produits »

10:19

Kyan Khojandi : « l’écosystème a vraiment évolué… »

« Maintenant les créateurs ont des monteurs.. avant ils faisaient 15 métiers en même temps à la limite du burn out. Mais les créateurs veulent être et rester indépendants ! »

10:02

« Nous on est là pour s’occuper de tous ce qui est relou, (prestataire, partenaire, chaîne de production) »

Donatien Bozon poursuit : «  On est là pour faciliter le passage à l’action. On a la bande passante que les créateurs n’ont pas»

« Au delà du côté du humain, on apporte le financement»

👉 Cet argument là devrait porter… ^^

09:57

Début de la Keynote sur « Le Bon Moment » , Kyan Khojandi et Donatien Bozon, Fondateur du Bon Moment

Le « bon moment » est une « start up studio » destinée à accompagner les créateurs dans le lancement de leur marque. Pourquoi ?

«  Les Écosystème des diffuseurs (Tv) peuvent garder les programmes, j’avais à la fin l’impression d’être enfermé dans les grands groupes. »

confie Donatien Bozon sur la création de « Le Bon Moment. »

09:20

Nos reporters de choc sont en place !

Manon (community manager) et Axelle (responsable marketing) ont réussi à pénétrer les lieux. Un petit selfie pour débuter cette journée qui s’annonce riche.

Le programme nous parle de podcasts, nouveaux formats, business…

Chiffres forts, citations intéressantes… Manon et Axelle tâcheront de vous faire remonter les infos les plus intéressantes qu’elle pourront glaner.

Bonne journée !

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