11 septembre 2019

Temps de lecture : 1 min

What the f…

Décidément le monde est f... Pendant les vacances, pendant que vous bronziez tranquillement sur une plage, loin de toutes les affres de la vie professionnelle, et que le soir, au son du slow de l'été, vous dansiez frénétiquement avec vos amis, d'autres, sournoisement profitaient de votre absence et agissaient...

Décidément le monde est f… Pendant les vacances, pendant que vous bronziez tranquillement sur une plage, loin de toutes les affres de la vie professionnelle, et que le soir, au son du slow de l’été, vous dansiez frénétiquement avec vos amis, d’autres, sournoisement profitaient de votre absence et agissaient…

Oui décidément le monde est f… ake. Car après les fake news, les fake comptes, les fake engagements et les fake influenceurs, voici qu’un mouvement tout aussi dangereux – et cette fois-ci pour les marques – qui vient des Etats-Unis, a pris de l’ampleur pendant l’été: celui des fake partenariats, c’est-à-dire des influenceurs qui publient des posts comme s’ils avaient été faits en liaison avec des marques. Une influenceuse américaine a ainsi inventé un partenariat avec, excusez du peu, Chanel….

Le phénomène que Guillaume Doki-Thonon, le fondateur de Reech avec lequel nous organisions hier un petit-déjeuner sur l’influence, a baptisé « Fake it until you make it », est en train d’arriver en France. Alors, mesdames les marques, surveillez bien la Toile. Les risques – et les préjudices – pour vous sont bien réels.

À lire aussi sur le même thème

Les Newsletters du groupe INfluencia : La quotidienne influencia — minted — the good. Recevez une dose d'innovations Pub, Media, Marketing, AdTech... et de GOOD

Bonne idée ! Je m'inscris !

Allez plus loin avec Influencia

the good newsletter

LES FORMATIONS INFLUENCIA

les abonnements Influencia