13 juin 2021

Temps de lecture : 1 min

Mon tél., des voix et des sons à l’infini

La technologie a toujours nourri l’industrie musicale, chaque nouveau support d’enregistrement venant altérer notre manière de consommer et de produire les œuvres. Une sorte d’immense chassé-croisé où chaque avancée technique – qui a su s’imposer au grand public – supplante la précédente et vient dicter son tempo aux consommateurs et aux producteurs de contenu. Pour bien comprendre la place occu-pée par le portable au panthéon des technologies au service de l’industrie musicale, retour sur celles qui l’ont précédé. « On the road again… »

La technologie a toujours nourri l’industrie musicale, chaque nouveau support d’enregistrement venant altérer notre manière de consommer et de produire les œuvres. Une sorte d’immense chassé-croisé où chaque avancée technique – qui a su s’imposer au grand public – supplante la précédente et vient dicter son tempo aux consommateurs et aux producteurs de contenu. Pour bien comprendre la place occupée par le portable au panthéon des technologies au service de l’industrie musicale, retour sur celles qui l’ont précédé. « On the road again… »

Flashback. La première grande révolution technique de l’industrie est fondée sur l’invention du vinyle au milieu du XXe siècle, puis prolongée par l’introduction de la cassette Philips en 1963. Moins encombrante, cette dernière va s’imposer comme l’instrument d’écoute roi dès 1979 et imposer la commercialisation du premier baladeur, le « Walkman » par Sony. La musique sort pour la première fois de nos chambres d’adolescent et inonde notre quotidien. A posteriori, ce qui se passe surtout alors, c’est que ces deux supports vont démocratiser une pratique, presque en voie de disparition aujourd’hui : le piratage musical. Si elles sont encore loin de bouleverser l’industrie de par leur nombre réduit, les cassettes pirates permettent à n’importe qui d’écouter de la musique, indépendamment de son pouvoir d’achat. Certaines d’entre elles vont même grandement participer à la réussite de leurs artistes respectifs, comme l’a prouvé l’incroyable histoire de Sixto Rodriguez. Ce jeune chanteur-compositeur qui officiait dans l’indifférence quasi générale aux États-Unis dans les années 1960 et 1970, est devenu une star à l’autre bout du monde, en Afrique du Sud, grâce à quelques copies pirates de ses albums. « Life… finds a way » en déduirait certainement Jeff Goldblum.

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