19 février 2017

Temps de lecture : 3 min

Stikbot : le jouet qui mise sur la créativité et les médias sociaux

Stikbot est un nouveau jeu qui cible la génération Z. A mi-chemin entre le jouet traditionnel et l’utilisation des réseaux sociaux, son lancement repose sur une saga publicitaire décalée qui joue à fond la carte de la « social créativité », répondant à ses applications et aux codes de la cible. De quoi éveiller des vocations et de créer de l'engagement.

Stikbot est un nouveau jeu qui cible la génération Z. A mi-chemin entre le jouet traditionnel et l’utilisation des réseaux sociaux, son lancement repose sur une saga publicitaire décalée qui joue à fond la carte de la « social créativité », répondant à ses applications et aux codes de la cible. De quoi éveiller des vocations et de créer de l’engagement.

Après Playmobil, Lego et autres Barbie ou Action Man… c’est au tour de Stikbot de faire son trou et de challenger le marché du jouet en France, depuis octobre 2016. Sauf que ces figurines d’origine américaine ont un petit plus -et pas des moindres- qui peut faire la différence pour séduire les adolescents de 11-14 ans, la cible désignée. Car complètement asexuées, articulées et dotées de ventouses pour une meilleure manipulation, elles constituent « un nouveau modèle de jeu qui allie le jouet traditionnel et l’utilisation des réseaux sociaux », détaille Patrick Semporé-Chittaro, responsable marketing de Goliath Modelco, éditeur de jeux qui en assure le lancement en France. En effet, ces personnages aux joyeuses couleurs et aux allures de mini robots sont accompagnés de leur application gratuite pour créer, animer et partager des vidéos en stop-motion. Permettant à leurs jeunes propriétaires grâce aux nouvelles technologies -qui n’ont plus aucun secret pour eux- de stimuler leur créativité, leur imagination, de développer des univers, de raconter des histoires, des jeux de rôle et de se transformer en apprentis cinéastes capables de réaliser des mini films d’animation. D’autant plus ludiques et addictifs que l’application propose d’y ajouter de la musique et des effets sonores…. De quoi ne jamais s’arrêter de jouer et de largement partager auprès de la communauté partout dans le monde, via le hashtag #Stikbot !

Pour être en phase avec ce type de divertissement aux infinies possibilités récréatives et surtout toucher cette fameuse génération Z, l’annonceur et Havas Paris, son agence, ont opté pour une campagne qui incarne son goût pour la « social créativité », via une stratégie de contenus et de social media très riche. Avec la réalisation et la diffusion de vidéos où le didactique a autant sa place que l’humour et l’absurde. Et qui, afin de permettre une vraie appropriation par le public français, ont la pertinence de mettre en scène les personnages dans des situations ou références très « frenchy » (« Les Visiteurs »…), en lien avec les centres d’intérêt ou les petits délires de la cible (se jeter dans la neige en agitant tous ses membres…) ou au milieu de monuments emblématiques nationaux (Tour Eiffel…).

Un dispositif social media riche et quotidien pour engager la communauté naissante

A raison de 2 mini animations par semaine sur les 4 plateformes sociales de la marque (Facebook, Instagram, YouTube, Giphy), la campagne compte déjà pas moins de 67 pastilles. Très graphiques, elles ont été écrites et imaginées par Max Trenton (CR), Kevin Nugeron (CR) et Alban Penicaut (DC) chez Havas Paris, qui sont même allés jusqu’à prêter leur voix aux personnages mis en scène les personnages. L’occasion de lancer « Tuto de Stikbot » et « Vis ma vie de Stikbot », et de décliner des photos, des Gifs, des devinettes, des meme ou des jeux concours. Créant ainsi une animation quasi quotidienne pour agrandir la communauté, l’engager et la fidéliser.

« Plutôt que de parler du jouet, nous avons fait le choix de produire un divertissement pour mieux s’adresser à la génération Z », souligne ce trio créatif de Havas Paris « tandis que la production très « Do It Yourself » l’incite à s’accaparer le style et le ton pour faire ses propres vidéos ». Résultats selon l’agence : 1, 4 million de vues sur YouTube, plus de 10 000 interactions sur FB qui cumule 12000 fans français et plus de 9 millions de personnes touchées. Soit un taux d’engagement de 3,8%… Un bon terreau préparé en quelques mois pour diffuser depuis ce 16 février, le premier spot TV français de 20 secondes (production : HCRLS) de la marque « aux ambitions plus pédagogiques » et forcément avec une visée de notoriété élargie.

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