29 janvier 2025

Temps de lecture : 1 min

New space : quel futur pour le spatial ?

Ingénieur, chercheur, entrepreneur, ancien Chief NewSpace Officer au Centre National d'Études Spatiales plus couramment (CNES), Thomas Fouquet va accompagner les Deep Tech et les technologies à fort impact transformatif dans l'industrie et le commerce de l'espace, notamment en recherchant de financements privés via une démarche de capital-risque.

Thomas Fouquet est ingénieur, chercheur, entrepreneur, et a été Chief NewSpace Officer au Centre National d’Études Spatiales plus couramment appelé le CNES. Il se lance aujourd’hui dans une aventure capitalistique pour soutenir les Deep Tech et les technologies à fort impact transformatif.

Le mot “Newspace” est utilisé pour la première fois en 2006 par la Space Frontier Foundation pour désigner l’émergence de plusieurs startups se lançant dans l’industrie et le commerce de l’espace. 

La France a  historiquement le leadership spatial en Europe, avec le hub européen à Toulouse, et le pas de tir à Kourou en Guyane.

Aux Etats-Unis, à la croisée des dynamiques militaires, politiques et industrielles, les programmes spatiaux des entreprises privées SpaceX ou Blue Origin véhiculent un imaginaire inspiré des œuvres de science-fiction.

Au sein de cet écosystème, le nouveau métier de Thomas consiste en l’accompagnement des start-ups innovantes dans ce domaine, notamment pour la recherche de financements privés via une démarche de capital-risque.

Aujourd’hui, le spatial se démocratise et est de plus en plus clef. Par exemple, sur les 50 données suivies par les chercheurs du GIEC, 26 sont mesurées via des satellites.

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