Les Icônes planants de BETC et Lacoste jouent avec nos sens…

Le partenariat historique entre BETC et Lacoste se poursuit en ce mois de mai avec glamour, élégance et un brin de nonchalance avec l’arrivée dans la team des Icons, d’Adèle Exarchopoulos… Une nouvelle salve, mondiale cette fois dont les ambassadeurs vendent du rêve mais pas que.

Il est bon et rassurant en ces temps chamboulés de constater qu’annonceurs et agences poursuivent leurs aventures avec autant de panache et de brio. Aujourd’hui, il s’agit pour BETC, avec « Play with Icons » de célébrer les icônes qui sont, aujourd’hui, au cœur de la Maison Lacoste. Une couverture à la Vanity Fair qui fait rêver et sans doute, donne envie de s’offrir ne serait-ce qu’un bandeau !

Des classiques réinterprétés, des icônes recontextualisées

En faisant le choix du talentueux photographe Tyler Mitchell, la campagne emprunte les codes du luxe sans tomber dans les outrances publicitaires actuelles d’un Louis Vuitton (La géante Zendaya) ou d’un Chanel (La Kawai Angèle), toutes deux vidées de leur substance et objetisées pour l’occasion. Ici, place à des personnalités iconiques bien là pour ce qu’elles sont toutes sans exception. Réelles, incarnées. Une authenticité saisissante qui a permis à ce photographe hors pair le prix Isabelle Blow lors des Fashion Awards.

Autre choix pertinent, la scénographie de la campagne, conçue par Poppy Bartlett, le stylisme d’Imruh Asha. Ensemble, ils proposent pour cette campagne une vision aiguisée, colorée et résolument mode.

Une série de portraits et de films stylisés explore l’alchimie singulière entre cinq ambassadeurs Lacoste et des pièces hype de la marque — chacun réinterprété à travers un regard aiguisé, une légèreté bienvenue. La diversité de ces ambassadeurs, – issus de différents horizons-, permettent sûrement à la campagne d’incarner le rayonnement mondial de l’enseigne.

Chaque film est imaginé comme un tableau en slow motion, porté par une bande-son espiègle du compositeur français Émile Sornin, qui semble étirer le temps et l’espace, accentuant cette impression de cool décontracté.

Novak Djokovic et le polo Lacoste – Le Roi des courts drapé dans un filet de tennis doré devenu cape royale. L’image célèbre à la fois l’homme et le vêtement. Tous deux légendaires.

Adèle Exarchopoulos & le sac Lenglen – L’élégance nonchalante
Actrice et icône de style, Adèle Exarchopoulos redéfinit le chic avec le sac Lenglen — le nouvel it- accessoire signé Lacoste. Dans un jeu de trompe-l’œil plein d’esprit, elle le porte comme une jupe plissée, fusionnant inspiration et transformation en une seule silhouette audacieuse. Un clin d’œil visuel à l’héritage tennis et à la mode, revisité avec une touche d’attitude française.

Venus Williams & la jupe plissée – La légende

Plissée, puissante, magnétique. Venus Williams émerge telle une déesse d’une structure sculpturale en jupe plissée, coiffée d’un plissé tout aussi élégant, en hommage au savoir-faire innovant de Lacoste en la matière. Une balle de tennis nacrée à la main, elle incarne la légende vivante incontestée, redéfinissant la grâce, la puissance et l’invention.

Pierre Niney & le polo Lacoste – L’emblème

L’acteur français Pierre Niney incarne une élégance discrète, teintée d’un humour inattendu. Vêtu du vert emblématique de Lacoste, il est allongé sur un canapé sculptural évoquant l’icône de la marque. Pierre Niney donne vie à l’emblème dans une composition minimaliste et ludique.

Wang Yibo et le polo Lacoste – Le charisme singulier

Acteur, chanteur et phénomène mondial, le portrait de Wang Yibo célèbre son influence incomparable et l’attention exceptionnelle qu’il suscite. Il apparaît sur scène, recevant des bouquets composés entièrement de polos Lacoste déclinés dans un dégradé de bleus — un hommage mode à son charisme scénique et à l’attrait intemporel du polo Lacoste, dans toutes ses nuances.