29 juin 2022

Temps de lecture : 4 min

Les enfants d’aujourd’hui imaginent l’entreprise de demain

« Quand je serai grand je serai… ». Quel bambin n’a jamais prononcé cette phrase, d’apparence anodine, mais qui semble, dans sa bouche, presque relever de la formule magique ? « L’imagination est plus importante que la connaissance car la connaissance est limitée tandis que l’imagination englobe le monde entier, stimule le progrès, suscite l’évolution », disait Einstein. Et ce ne sont pas les plus jeunes qui nous contrediront.

L’Agence Insign, qui accompagne Cegid depuis 2018, a dévoilé une campagne rafraichissante qui donne la parole aux enfants des collaborateurs de son client pour leur demander comment ils imaginent leur avenir professionnel. Emy, cinq ans, souhaite par exemple pouvoir faire ses achats en lançant son yoyo, rien que ça. Mahé, d’un an son aîné, s’imagine travailler dans des bureaux flottant dans l’espace. Cyril, neuf ans, espère quant à lui avoir la possibilité de faire plusieurs métiers en même temps. Pour tous ces futurs professionnels, il ne fait nul doute que l’avenir de l’entreprise rime avec des choses que nos cerveaux d’adultes ne peuvent pas imaginer. Si les idées sont parfois loufoques, elles ne manquent pas de traduire des défis bien réels de l’écosystème professionnel que Cegid est prêt à relever. Comment joindre le rêve à la réalité commerciale, en somme.

Une porte pour aller voir l’avenir pour Mathis ? Aucun problème, les solutions fournis par l’éditeur permettent d’anticiper les tendances à venir grâce à une meilleure connaissance des attentes des équipes, et être ainsi prêts à tous les changements. Moins rêveur mais beaucoup plus pragmatique. Des boules de cristal pour effectuer les calculs à la demande de Lonnie ? Encore une fois, grâce aux solutions fournis par l’entreprise de ses parents, les chiffres n’auront, à l’avenir plus aucun secret pour elle. Vous voyez l’idée : à chaque rêve, une solution made in Cegid s’applique. Avec cette campagne, à la tonalité presque enfantine, Cegid démontre que ses solutions d’aujourd’hui s’adapteront au monde de demain. Les changements ne cessent de s’accélérer et les évolutions sont nombreuses, diverses et imprévisibles, et l’éditeur a à cœur de permettre à ses clients de naviguer dans ce monde qui reste à découvrir avec agilité que leur fournissent ses dispositifs RH. 

 

 

Une campagne en deux temps 

« Nous avons volontairement cherché à prendre le contrepied de ce que tout-un-chacun s’imagine lorsqu’il pense aux solutions de gestion. Il s’est agi pour nous de donner la parole au futur, incarné naturellement par nos propres enfants : c’est à leurs attentes que le monde de demain devra se conformer, car c’est à eux que nous laissons la place. Nous avons tous en nous un enfant qui a grandi. Nous avons décidé de miser sur l’émotion de la découverte pour faire résonner cette campagne auprès de tous », explique Juliette Millier d’Arcangues, Directrice Générale Déléguée d’Insign. 

Majoritairement digitale, cette campagne est visible sur les réseaux sociaux depuis le 13 juin dernier, ainsi que sur les sites de médias en affinité avec les cibles de Cegid et dans la presse spécialisée sous forme de bannières et d’habillages. Elle durera jusqu’au 11 juillet. Le second temps fort de cette campagne prendra place à la rentrée… sans plus de précision pour le moment. Les bambins que nous sommes devront faire preuve de patience. Les vidéos à destination des réseaux sociaux sont des spots d’une durée de vingt secondes chacun, mettant en avant un des verbatims des enfants, avec des illustrations permettant de faire le lien avec le réel.

 

 

Pour Valérie Thomassin, CMO de Cegid, sa maison « est avant tout une entreprise tournée vers l’avenir, à l’écoute de ses clients et à l’écoute de leurs besoins. Pour nous, évoluer, c’est inclure dans les solutions d’aujourd’hui les défis de demain. En étant connectés à l’évolution de nos clients, nous leur ouvrons les possibles, tel est l’objectif que Cegid poursuit depuis près de quarante ans ».

 

Que savons nous jusqu’ici

Pour ne pas laisser les plus jeunes se dépatouiller seul, l’Institut de l’Entreprise et la Fondation Nationale pour l’Enseignement de la Gestion des Entreprises dévoilait le 10 juin dernier une étude réalisée par PWC sensée dresser le portrait de l’entreprise modèle de 2030. Au total, 100 entreprises, 10 associations professionnelles dont Entreprises & Médias, France Supply Chain et l’Institut Français des Administrateurs, ainsi que 30 chercheurs académiques ont contribué à ce rapport prospectif, basé sur les retours des personnes interrogées et incitées à se projeter dans des « futurs plausibles ». Les résultats viennent confirmer une tendance de fond, martelé par bon nombre d’entrepreneurs ces dernières années : « D’ici 2030, les entreprises « intègreront complètement la responsabilité sociale, sociétale et environnementale à tous les niveaux de leurs organisations, activités, métiers et pratiques ». La RSE devrait donc concerner l’entreprise toute entière plutôt qu’un seul département dédié.

« Depuis le XIXe siècle, la nature, les personnes, la société, la science, la culture, la liberté ont été perçues comme des ressources pour les entreprises. Aujourd’hui, nous attendons à l’inverse que les entreprises soient à leur service, et qu’elles prennent pleinement part dans la résolution des défis qui nous préoccupent. L’Entreprise Full-RSE, c’est l’entreprise de demain, fer-de-lance d’un modèle entrepreneurial à la française  », indique les auteurs de l’étude. « L’entreprise doit être portée par une conviction très forte, la révolution de la culture de l’entreprise est très importante », souligne ainsi Hélène Valade, présidente de l’Observatoire de la RSE. Comme le note le rapport, cela demandera d’engager des personnes capables de développer ces « compétences nouvelles et en perpétuelle évolution ». Le hic étant que les entreprises sont déjà confrontées à une pénurie de main d’œuvre qualifiée dans le domaine de la RSE. Il y a déjà un an, une tribune du Monde appelait les recruteurs à dépasser les clichés sur le profil attendu des professionnels de responsable RSE : « la demande de recrutements pour assurer les missions « d’impact positif » dépasse largement l’offre de candidats ». De quoi pousser les entreprises à s’ouvrir à la diversité, aux autodidactes et à tous les profils capable d’apporter ce petit supplément d’âme ? Ce n’est finalement qu’une question de survie.

 

 

 

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