3 avril 2024

Temps de lecture : 1 min

IA qu’à : Le Slip Français fait campagne pour ses sous-vêtements Révolution et divise leur prix par deux !

Le Slip Français lançait ces jours-ci, un slip fabriqué en France, au prix de 25€. En 2023, la marque tricolore avait déjà relevé le défi de vendre en 20 jours 50 000 sous-vêtements à un prix plus accessible, grâce à la plus importante pré-commande jamais réalisée dans l’Hexagone. Au vu du succès de l’opération, le fondateur et la Directrice Générale du Slip Français Guillaume Gibault et Léa Marie, ont décidé de proposer 2 nouveaux modèles (un slip et un boxer) à un prix accessible, et qui le restera de façon pérenne.

Cette initiative va permettre de réindustrialiser et de retrouver des volumes qui pourront donner un nouveau souffle à l’industrie. Le Slip Français assume son rôle de première marque textile 100% made in France et prend des risques pour prouver que le fabriqué en France est possible. Guillaume Gibault son créateur explique : « C’est dans les moments difficiles et dans les moments de crises qu’il faut rester fidèle à sa raison d’être et prendre des décisions courageuses pour écrire son avenir. C’est ainsi que, de Citroën à Renault en passant par Airbus et Verkor, l’industrie a toujours su se réinventer.  Il s’agit pour nous aussi de retrouver des volumes, pour réamorcer la pompe. » 
Comme un nouveau départ, cette (R)évolution est une évidence pour la marque qui a conscience que le prix est un élément clé dans le choix des consommateurs français. Véritable symbole du made in France, Le Slip Français a donc trouvé la solution industrielle pour rendre ses produits accessibles à une majorité de Français. En engageant un volume de 400 000 pièces, l’entreprise réduit de 40% le prix de ses sous-vêtements vendus à l’unité, et de moitié ses packs de 3 sous-vêtements, tout en ne faisant aucune concession sur la qualité. Histoire de nous distraire, la marque lance aussi un spot intitulé « Aux slips citoyens », le premier film qui met en scène un robot aux prises avec son… employeur qui ne le paye pas… Ce dernier finit par faire grève et sort manifester dans la rue. Aux petits oignons.
Deux affiches font par ailleurs la nique à l’IA…

À lire aussi sur le même thème

Les Newsletters du groupe INfluencia : La quotidienne influencia — minted — the good. Recevez une dose d'innovations Pub, Media, Marketing, AdTech... et de GOOD

Bonne idée ! Je m'inscris !

Allez plus loin avec Influencia

the good newsletter

LES FORMATIONS INFLUENCIA

les abonnements Influencia