20 mai 2022

Temps de lecture : 1 min

Le bonheur, c’est le plaisir sans remords*

Covid, guerre, montée des extrêmes, crise climatique, crises alimentaires, inflation, terrorisme … Peut-on encore se faire plaisir dans une période si mouvementée et anxiogène ? C’est la question que s’est posé le tout dernier Observatoire Cetelem**.
Edito

Les premières indications montrent – on pouvait s’en douter – le mal-être de nos concitoyens qui se disent frustrés car ils n’ont pas le sentiment de s’offrir suffisamment de petits plaisirs.

Mais – et c’est sans doute une nouveauté – ces mêmes Français se montrent plutôt sensibles au sort des autres et reconnaissent être affectés par leurs difficultés. Résultat : 60% – et ce n’est pas rien – estiment qu’il est difficile de se faire plaisir sans culpabilité aujourd’hui !

68% – et 74% chez les moins de 35 ans – se montrent même souvent tentés par le repli et l’envie de se couper du monde pour retrouver du plaisir.

De nouveaux comportements émergent ainsi, et les marques ont tout intérêt à les prendre en compte dans leurs offres et leurs communications, pour que le bonheur soit à nouveau un plaisir  sans remords.

 

*Socrate

** étude Harris Interactive/ Observatoire Cetelem, avril 2022

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