En 2016, nous avons lancé Phenix Digital, le premier média digital urbain éditorialisé. Loin d’un simple réseau d’écrans, notre réseau DOOH est pensé nativement comme une plateforme de contenus à part entière. Nos 3 500 écrans, déployés dans les rues et centres commerciaux de France, diffusent chaque jour des stories issues d’un écosystème éditorial riche : éditeurs médias, créateurs, artistes, influenceurs… autant de talents qui prennent la parole dans l’espace public pour informer, inspirer, faire réfléchir ou sourire.
Cette approche éditoriale répond à un double enjeu : reconnecter la communication extérieure avec les attentes d’une audience urbaine ultra-mobile, et offrir aux créateurs un nouveau territoire d’expression, complémentaire aux réseaux sociaux. Aujourd’hui, un influenceur ne s’adresse plus seulement à sa communauté sur TikTok ou YouTube : il est aussi visible dans la rue, à la croisée des regards et des usages.
En complément de nos médias DOOH, Phenix développe son activité d’éditeur de contenu sur le web avec l’acquisition récente d’Être Étudiant première communauté social media étudiante en France qui réunit près de 3 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux. Cela nous permet de tisser un lien toujours plus fort entre nos écrans DOOH et les réseaux sociaux au sein desquels évoluent les jeunes générations. C’est cette synergie, cette fluidité entre le contenu social et le média DOOH, que nous venons partager à Mediamorphose.
Notre conviction ? Le DOOH est un média et un format à part entière, au même titre qu’une story Instagram ou une vidéo TikTok. Editorialiser, c’est scénariser, contextualiser, engager. C’est faire le choix d’un média qui raconte des histoires et pas seulement un support publicitaire.
Chez Phenix, nous croyons à une communication qui allie (i) un média de rue s’adressant à tous et (ii) des médias sociaux ciblés et communautaires. Cette complémentarité fait notre singularité.
Par Sébastien Romelot, Président fondateur de Phenix Groupe