7 janvier 2015

Temps de lecture : 1 min

Charlie

Ils s’appelaient Cabu, Wolinski, Tignous et Charb, et ils sont tombés avec d’autres, au champ d’honneur de la liberté d’expression.

Ils s’appelaient Cabu, Wolinski, Tignous et Charb, et ils sont tombés avec d’autres, au champ d’honneur de la liberté d’expression.

Hier l’hebdomadaire Charlie Hebdo a fait l’objet d’un attentat atroce et injustifiable, qui constitue une atteinte insupportable à la démocratie et à la liberté d’expression. Il n’y a pas de mots assez forts pour exprimer aujourd’hui la tristesse et la colère face au massacre perpétré contre la rédaction de « Charlie-Hebdo ». Quand on tue des journalistes, c’est pour faire peur à toute une profession, c’est pour faire taire ceux qui osent. Attaquer un journal, c’est vouloir museler la liberté d’opinion, donc la liberté tout court dans une démocratie.

Nos pensées vont aux victimes de ces lâches assassinats, à leurs familles et à leurs proches.  Et à tous ceux qui partout se battent avec leur plume, leur stylo, leur clavier ou leurs caméras pour nous informer, pour porter la parole de ceux qui ont besoin de se faire entendre. Des mots, des dessins ou des images qui seront toujours plus forts que les armes, on veut le croire…

Hélas, selon RSF il y a eu officiellement en 2014, 66 journalistes, 11 collaborateurs et 19 net-citoyens et citoyens journalistes tués dans le monde… Je suis Charlie Hebdo et vous n’êtes pas prêts de m’arrêter…

Isabelle Musnik

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