3 avril 2022

Temps de lecture : 2 min

C’en est enfin fini du métavers pour Desperados qui retrouve enfin ses consommateurs !

C’est bien joli les fêtes immersives dans le métavers, mais pour Desperados c’était un peu la punition. La marque iconique revient après deux ans d’absence, dans les rues, l’événementiel chevillé au goulot, l’art dans ses cartons, et va nous en faire voir de toutes les couleurs. Voici la collection Printemps-été du collectif Desperados !

On le sait, Desperados n’aime guère la sobriété, et dès qu’il s’agit de fêter sa bière dosée de tequila, la marque est prête à tous les mix. Artistiques et technologiques. En 2020, pendant la covid, Desperados s’était illustrée par une méga-fête virtuelle dans le métavers, au pic de la pandémie. Cette fois, Rutger van der Stegen, responsable marketing monde de la marque s’empare sans complexe d’art visuel, de photographie et de mode pour faire trinquer la foule pour de vrai. L’occasion pour les amoureux de la lumière, de la couleur et du fun de découvrir la deuxième édition du Desperados Collective, une série d’œuvres remixées d’artistes du monde entier.

Événementiel et vidéo arty au programme

La campagne sera diffusée sur les réseaux sociaux et dans les rues, au printemps et en été. Des artistes qui, -brief oblige-, devaient entrer dans les cases audacieuses de Rutger van der Stegen : « nous sommes donc partis à la recherche de créateurs capables de dépasser leurs propres limites créatives, tout en n’étant pas des sommités, mais plutôt des créatifs que nous serions susceptibles d’accompagner dans leur carrière », explique le directeur marketing qui se veut aussi découvreur de talents et mécène. Et puis surtout, des artistes capables de traduire les actifs de la marque. « A savoir, notre bouteille iconique, notre identité et nos couleurs ». Et c’est ainsi que nous découvrons les œuvres de Loza Maleombho (artiste et créatrice de mode ivoirienne), Drcuerda (duo d’artistes espagnols); Shuta Bug (artiste visuel du Nigeria) ; Elmotion Lab (le studio numérique français) et PEBE Studio (un studio multidisciplinaire espagnol).

 

L’artiste ivoirienne Loza Maleombho 

 

Le duo d’artistes espagnols Drcuerda

 

Le studio espagnol Pebe Studio

« Depuis les débuts, nous mélangeons bière et téquila, insiste le directeur marketing, « cela fait de nous une boisson inhabituelle qui ose . Logiquement, nous allons vers des personnalités qui nous ressemblent et qui parlent d’audace, de création, et de mixité».

La chance de revenir au monde réel

« Aujourd’hui, nous sentons bien que nos consommateurs ressentent à la fois l’envie de folie, de fête, et la peur de s’extérioriser, de sortir et de se revoir entre amis. La covid, et ces deux années ont été fatales, poursuit-t-il, « le rôle de Desperados est d’amener sa folie, son sens de la fête, et sa dynamique festive au monde entier ». Alors place à la célébration. Rutger van der Stegen savoure la chance de revenir au  monde réel.  Pour rappel, en dehors des soirées virtuelles, la marque a également tenté de sauver les boîtes de nuit touchées par la pandémie grâce à son application « Rave to Save ».

 

 

Nous avons beaucoup appris du monde virtuel et beaucoup aimé collaborer avec les plateformes numériques. Mais être capable de le faire de manière hybride et aussi dans la vraie vie, c’est un peu une renaissance pour nous », avoue enfin le directeur marketing qui attend impatiemment de courir les fêtes qui seront organisées à travers l’Europe mais aussi en Afrique…

 

 

 

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