2 janvier 2014

Temps de lecture : 9 min

Best of : le Web Social dans tous ses états !

Pour bien entreprendre en 2014, faisons en sorte de retenir les bonnes idées de 2013 ! Découvrez un florilège de projets digitaux intelligents et novateurs traités par INfluencia

Facebook : après le « like » voici le « want »

La rumeur se concrétise. En quête de nouvelles sources de revenus, Facebook défriche le terrain du e-commerce en testant une nouvelle fonctionnalité permettant de promouvoir des produits de marques partenaires. le réseau social confirme son attirance pour la vente en ligne…
Après le « like » et le « share », souhaitons la bienvenue au nouveau-né de Facebook : le bouton « want ». Il est à peine né que déjà ce clic encore en phase expérimentale fait parler de lui. Pour la première fois de son histoire, le réseau social permet à ses utilisateurs de se concocter une « wishlist » en sélectionnant les objets de son désir parmi les produits regroupés par thème sur la timeline des marques exposées. Baptisée « Collections », cette nouvelle fonction  va « permettre aux gens de partager ce qui les intéressent avec leurs amis. Ils s’engagent avec les collections et peuvent ensuite acheter ce qui leur a plu en dehors de Facebook », commente dans un communiqué le réseau au milliard de fidèles. Lire la suite ICI.

Persona nettoie l’info non grata

Protéger sa réputation sur la Toile est une nécessité pour l’internaute ou les marques. Pour les citoyens connectés, la transparence et le partage qui règnent sur les réseaux sociaux exposent des informations pouvant leur porter préjudice. Un nouvel outil de nettoyage en temps réel débarque sur ce marché porteur.

Comme le dirait si bien Forrest Gump, les réseaux sociaux, « c’est comme une boîte de chocolat : on ne sait jamais sur quoi on va tomber ». Sur la Toile et ses plates-formes de réseautage, la frontière entre sphère privée et information publique est bien trop poreuse pour faire elle-même le tri. Et voilà comment la facette d’une vie ou d’une personnalité se retrouve à portée de clics d’une catégorie de contacts à qui vous souhaitiez la cacher. Pour éviter ces tracas, des aides digitales existent déjà pour manager sa réputation ou celle d’une marque sur le Web. Le dernier né, Persona, pousse le filtre à un paroxysme encore inédit. Lire la suite ICI.

Bienvenue dans le monde magique des légumes pour enfants

Pour certains parents, faire manger des légumes à leur progéniture relève du chemin de croix anxiogène. Avec son jeu digital « Funfair in Your Mouth », la marque japonaise, Ebara Foods, détient peut-être la clef de la conviction.

En France, les gouvernements multiplient depuis des années les campagnes de sensibilisation pour convaincre les enfants de manger cinq fruits et légumes par jour. Leur message publicitaire est efficace sur la forme, moins sur le fond. Pourquoi ? Peut-être parce qu’il manque d’interactivité. Au pays du Soleil levant, une marque a décidé de jouer la carte du jeu digital participatif pour convaincre les bouts de choux de se mettre au vert. Lire la suite ICI.

Bientôt le tweet post-mortem ?

Freud a inventé le Surmoi et le Ça, les réseaux sociaux créent le Moi réel et le Moi digital. Et avec le progrès des nouvelles technologies, notre deuxième vie sur la Toile peut se prolonger après la mort… Grâce (ou à cause de) l’intelligence artificielle, un programme expérimental permet donc à un mort de continuer à hanter Twitter… Vous avez dit glauque ?

« Quand votre cœur s’arrêtera de battre, vous continuerez  à tweeter. Bienvenue dans votre « après-vie sociale » ». En une simple tagline, LivesOn résume franchement l’esprit d’une ambition moralement dérangeante : poursuivre sa vie digitale depuis l’au-delà. Créé par l’agence digitale londonienne Lean Mean Fighting Machine, en corrélation avec des développeurs de la Queen Mary University, ce projet polémique est testé depuis le début du mois par quelques volontaires, curieux de voir comment les imiteraient leurs fantômes après leur décès… Lire la suite ICI.

Urban Outfitters : quand les data servent aux consommateurs

Dans la guerre des données que se livrent les marques, les réseaux sociaux constituent les nouveaux centres de commandement. Pour convaincre les adolescents d’ouvrir les portes de leur intimité digitale, Urban Outfitters lance une nouvelle application mobile basée sur le « win-win ».

« Les consommateurs n’aiment pas être trop markétés et en tant que marque, nous ne voulons pas être trop agressif. Le donnant-donnant que nous souhaitons instaurer est un équilibre délicat à trouver. » En deux phrases dans Businessweek, Moira Gregonis, responsable senior marketing, résume parfaitement le pari décidé par Urban Outfitters. Avec le lancement de la nouvelle mouture de «Urban On», la marque de vêtements nord-américaine – installée pour cinq mois depuis le 2 septembre sur 100 m2 aux Galeries Lafayette à Paris – espère fidéliser une cible volage et exigeante. Comment ? En récompensant la transmission déguisée de ses très données très courtisées. Lire la suite ICI.

22 ! les flics ont leur réseau social !

Les réseaux sociaux concernent beaucoup de corporations et constituent aujourd’hui le terreau de l’économie collaborative. C’est justement pour forcer une meilleure collaboration chez les flics américains qu’un ex-dirigeant de police lance un Facebook pour policiers. Une première aux Etats-Unis.

Les complaintes et contraintes des flics, Bill Bratton les connaît par cœur. Le dirigeant de Bratton Technologies a dirigé la police de New York, Boston et Los Angeles, dressant le même constat à chaque fin de mandat : « La collaboration entre officiers constitue la clef du succès de la police. » Pour convaincre ses anciens collègues de mieux échanger et partager, Bratton a décidé de créer un réseau social unique en son genre chez l’Oncle Sam.

Le nouveau venu dans le très éclectique et pullulant paysage social nord-américain se nomme BlueLine. Financé par le G2 Investment Group et officiellement lancé en octobre prochain lors de la conférence annuelle des grands pontes de la police étasunienne, BlueLine est actuellement testé en version Beta par 100 officiers de police de Los Angeles. Plusieurs douzaines d’autres villes devraient également essayer la nouvelle plate-forme d’ici la fin de l’été. Lire la suite ICI.

F# : quand la musique renforce les marques

La nouvelle application digitale F# propose aux marques de marketer leur propre contenu musical exclusif pour mieux interagir avec les consommateurs.

Avec l’évolution des rapports entre artistes et marques, les chanteurs ont de plus en plus un rôle de prescripteur auprès des fans. La startup F# – prononcez F-Dièse – a bien cerné cette nouvelle donne. Fondée depuis un an et basée à New-York, elle permet aux marketeurs de créer sur la Toile leurs propres stations de radio brandées. Dans la prochaine Revue digitale INfluencia sur la culture, Oxmo Puccino évoque avec pertinence cette évolution. Sollicité par Nike en 2011 pour un spot sur l’équipe de France de football, le rappeur se faisait le porte voix de deux univers très proches. Les réseaux sociaux et les sites de streaming peer-to-peer comme Spotify et Deezer sont passés par là, modifiant le contrat de mariage publicitaire entre musique et annonceurs. Lire la suite ICI

Bondsy, le troc digital qui veut redéfinir l’e-commerce

Avec la multiplication des plateformes d’achats en ligne, le e-commerce évolue et là aussi les marques y sont en quête d’expériences pour le consommateur. Le troc digital en fait partie, c’est ce que propose la nouvelle application« Bondsy ».
« C’est bien au-delà de la vente. Il s’agit ici de connexions et de comment nous interagissons entre nous ». En quelques mots, l’explication didactique de Diego Zambrano synthétise la valeur ajoutée de sa plate-forme Bondsy, nouveau venu dans la sphère du e-commerce et de l’économie de partage. Pour nos confrères de Co.Design, l’application iPhone peut carrément devenir « le nouveau e-bay de l’ère Instagram ». Autant dire que notre curiosité est aiguisée et que nous avons voulu en savoir plus sur le bébé de Zambrano, ex-directeur créatif chez Ogilvy et R/GA. Lire la suite ICI.

Koozoo : quand le crowdsourcing se transforme en Big Brother…

Le consommateur, grâce à des réseaux de webcam peut désormais être averti de l’ambiance et l’activité du lieu où il envisage de se rendre. Pour le projet nord-américain Koozoo, cette « fenêtre sur le monde » répond de l’intérêt public…
« Oui mais si… ». Cette sempiternelle rengaine est l’ennemi du consommateur. Il se passerait bien de se demander constamment « si cela en vaut la peine » avant de se rendre quelque part ! Pour justement que l’anxiogène « si » disparaisse du processus décisionnel, une startup californienne propose à chacun de pouvoir anticiper sur son choix en regardant à l’instant présent ce qu’il se passe à l’endroit souhaité.

Vous voulez vous rendre dans un restaurant mais n’aimez pas attendre ? Vous désirez aller faire du shopping sans être certain des horaires d’ouverture ? Vous souhaitez aller à la plage uniquement si elle n’est pas bondée ? Vous envisagez d’aller dans un bar mais craignez qu’il ne soit fermé ou déjà trop plein ? Koozoo ambitionne d’apporter une réponse à chacune de ces questions inévitables. Lire la suite ICI.

Pixlee : faire le tri entre le bon et du mauvais UGC

Dans le grand barnum des contenus visuels générés par les consommateurs sur les réseaux sociaux, les marques cherchent des alliés de tri sélectif. La toute nouvelle plate-forme de la startup Pixlee en est un !
« Toutes les photos ne sont pas créés de la même manière. » Et oui, Pixlee a raison : l’injustice de la nature humaine provoque des dommages collatéraux, même quand les smartphones vulgarisent l’art photographique. Dans le lacis inégal du User Generated Content (UGC), comment aider les marques à trouver le contenu le plus pertinent ? Le spécialiste du Markering Visuel Personnalisé (MVP) détient la réponse : il combine photos et données pour assurer un contenu authentique, ciblé et personnalisé.

« Nous ne sommes pas juste une plate-forme d’agrégation sociale de plus », clame Kyle Wong, fondateur de Pixlee, conscient de débarquer sur un terrain miné par un risque de trop plein. Lancée il y a une semaine, la plate-forme PhotoRank construit un (nouveau) pont entre la marque et le consommateur qui involontairement (ou non) lui fait sa pub sur les réseaux sociaux. « Nous révolutionnons la relation entre les deux », justifie K. Wong dans un communiqué de presse.
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Ibotta : quand le coupon devient conversation

Comment générer de la conversation avec un simple coupon de réduction ? Le smartphone deviendrait-il un moyen privilégié pour faire interagir l’acheteur et la marque ? Pour INfluencia, le fondateur de l’application Ibotta – qui vient de souffler sa première bougie – apporte ses réponses.
« Ne pas faire évoluer l’utilisation des coupons sur les supports mobiles, c’est ne pas exploiter pleinement le potentiel technologique des smartphones. Cela me rappelle les débuts de la pub TV quand les annonceurs se contentaient de présenter des spots radios sur l’écran. » Cette ode au pouvoir marketing de nos téléphones intelligents est signée Bryan Leach, CEO d’Ibotta. Depuis le 7 novembre 2012, cette application novatrice « ouvre les portes d’une nouvelle expérience d’interaction entre les consommateurs et les marques », clame son président et fondateur, joint au téléphone par INfluencia. Lire la suite ICI.

Le talent, nouveau moyen de paiement ?

Et si les disparités de revenus s’éclipsaient pour laisser le talent seul juge du pouvoir d’achat de chaque citoyen ? Cette utopie digne de Thomas Moore, la plate-forme nord-américaine The Merit Shop, entend bien la concrétiser sur la Toile.
« Si l’argent n’existait pas et que nous n’avions que nos talents ? Nous serions tellement plus riches. » John Lennon n’aurait pas écrit mieux. « Imagine » rêvait d’un monde meilleur, sans guerre ni inégalité. Avec The Merit Shop, Daniel Soares, Pedro Sampaio et Joao Stein ne se contentent pas d’imaginer un monde sans monnaie ni transaction financière, ils posent les fondations digitales d’une alternance inédite à l’argent. Dans leur maïeutique d’achat, la créativité est seule reine ! Lire la suite ICI.

Le QR Code devient outil d’embauche

Annoncé comme le prochain tournant technologique dans l’évolution de la publicité digitale, le QR Code n’impose pas encore complètement son utilité, que ce soit auprès des annonceurs ou du grand public. En revanche, le « futur Messie » séduit dans des utilisations dérivées, comme lorsqu’il sert d’outil de recrutement en Turquie.
Depuis deux ans, l’industrie des ressources humaines tire la quintessence des nouvelles technologies digitales pour faire sa mue. En Turquie, les créatifs de BURO en apportent une nouvelle preuve flagrante en transformant le Quick Response en test préalable à un entretien d’embauche. Pour pouvoir devenir artiste tatoueur chez Bergge Tatoo – désireux de pratiquer un premier écrémage dans sa quête de la perle rare – chaque candidat a d’abord dû prouver ses talents sur un cobaye inhabituel et inattendu : un QR code ! Lire la suite ICI.

La rédaction
Rubrique réalisée en partenariat avec ETO

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