« La Presse Quotidienne  Régionale est un révélateur formidable des humeurs, des préoccupations  et des enthousiasmes des Français. Pas une tendance, pas un mouvement de  l’opinion, même à l’état embryonnaire, qui n’ait fait l’objet de  dizaines d’articles, d’éditos ou de dossiers dans les journaux  régionaux. Ce miroir de la société qu’est la PQR est un véhicule  publicitaire à part, parce qu’il met en lumière les soubresauts de la  société, mais aussi et surtout parce qu’il l’illustre de centaines  d’histoires de vie, de parcours humains et d’initiatives passionnées, au  plus près de ceux qui les incarnent », explique Jacques Hardoin,  Président de la Commission Publicité du Syndicat de la Presse Quotidienne Régionale.
Comprendre  les nouveaux territoires, c’est s’approcher des Français comme ils  vivent et consomment aujourd’hui, comme ils se déplacent et  s’identifient à “ leurs ” lieux de vie. Comment ils s’informent aussi et  comment leur apporter chaque jour la bonne information au bon moment et  au bon endroit. Au coeur de ce challenge majeur, les nouvelles technologies,  mais aussi l’innovation commerciale, le portage à domicile, le  développement de nouveaux points de vente et la réflexion sur les  ergonomies de l’information sont des préoccupations quotidiennes.
Être  présents sur ces nouveaux territoires et les animer, comme le fait la  PQR chaque jour, c’est donner une possibilité de plus aux annonceurs  d’inscrire leurs marques dans la proximité, valeur dont toutes les  études montrent aujourd’hui qu’elle est devenue cardinale.
Des territoires plus forts
« Désenclavés, reliés, connectés, les territoires émergent comme les nouveaux  grands acteurs du monde mobile. Sans que cela ait toujours été  clairement perçu et prévu, la mondialisation les a, de fait, rendus plus  forts. Pour se démarquer dans la compétition féroce de l’attractivité (économique,  culturelle, touristique…) et profiter de flux de mobilité d’ampleur  inégalée dans l’histoire humaine, les territoires ont revisité et  revalorisé leur identité comme atout de différenciation et de  distinction », ajoute Guénaëlle Gault, Directrice du département  Stratégies d’Opinion, TNS Sofres, qui  a réalisé le livre qui vient de  paraître.
Par ce jeu d’affirmation, le territoire s’est constitué  en espace doublement approprié par les individus, à la fois comme  vecteur d’identité mais aussi, en parallèle et en même temps, comme  cadre propice pour profiter de la globalisation. Le territoire ne peut  plus se comprendre seulement comme l’incarnation du local face au  global. Il l’est parfois mais articule souvent les deux dans des  conditions qu’il convient aujourd’hui de repenser.
Une révolution silencieuse
Comprendre  la France contemporaine, prendre la mesure des mouvements  démographiques et territoriaux qui la transforment nécessite ainsi de  rompre avec des grilles de lecture devenues totalement inadaptées face  aux révolutions en cours. Urbain/rural, urbanisation/désertification… la binarité est absolument caduque pour rendre compte de la France territoriale d’aujourd’hui.  Lire la suite ci-dessous…