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22 octobre 2021
Temps de lecture : 1 min
Certes, le Requiem de Mozart a été complété, après sa mort, à la demande de Constance Mozart, par l’un de ses meilleurs élèves Franz Xaver Süssmayr. Certes encore l’opéra de Puccini, Turandot a été fini par le jeune Franco Alfano. Mais les deux compositeurs étaient des êtres humains contemporains et proches de ces grands musiciens.
Loin de moi l’idée de m’attaquer aux talents éventuels de compositeur d’une IA, quand elle crée une nouvelle œuvre. Mais j’avoue que lorsque que j’ai lu que toute une équipe – certes humaine mais aidée par l’intelligence artificielle – avait réussi à écrire la fin de la Dixième Symphonie de Beethoven*, je me suis sentie mal à l’aise. Comme si on volait un peu de son âme à cette œuvre. Comme si le génie – la folie même – pouvait être reproduit par une machine !
A quand une Victoire de la musique ou un prix de Rome à la « 10ème Symphonie achevée » ? Ludwig s’en retournerait dans sa tombe.
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