15 février 2017

Temps de lecture : 1 min

63 % des Français prêts à accepter qu’on mesure leurs émotions

L’émotion prend une place de plus en plus considérable dans nos vies. Omniprésente dans les médias, « outil de vente » de la communication, recherchée par toutes les marques, elle est une valeur sûre et universelle pour attirer les individus. Une tendance confirmée par l’arrivée des neurosciences dans le marketing. La revue INfluencia, qui consacre son numéro 20 à ce thème, a demandé à l’institut iligo d’interroger les Français afin d’en savoir plus sur les émotions ressenties le plus fréquemment et le plus insensément dans leur quotidien. Pour savoir ce qui les fait vibrer, ou non, s’ils sont prêts à accepter que l’on mesure leurs émotions et quels objets connectés les séduisent.

L’émotion prend une place de plus en plus considérable dans nos vies. Omniprésente dans les médias, « outil de vente » de la communication, recherchée par toutes les marques, elle est une valeur sûre et universelle pour attirer les individus. Une tendance confirmée par l’arrivée des neurosciences dans le marketing. La revue INfluencia, qui consacre son numéro 20 à ce thème, a demandé à l’institut iligo d’interroger les Français afin d’en savoir plus sur les émotions ressenties le plus fréquemment et le plus insensément dans leur quotidien. Pour savoir ce qui les fait vibrer, ou non, s’ils sont prêts à accepter que l’on mesure leurs émotions et quels objets connectés les séduisent.

La réaction de nos compatriotes est claire : « n’en déplaise à ceux qui tempêtent contre Big Brother et son œil intrusif, les Français n’ont plus peur. 63 % reconnaissent en effet qu’ils sont prêts à accepter la mesure automatique de leurs émotions », commente Isabelle Musnik, directrice de la rédaction.

C’est surtout le bracelet connecté qui les attire : 42 % sont tentés. En revanche, la reconnaissance faciale via les caméras, les séduit moins (39%). Les Français aiment encore moins les lunettes/lentilles connectées (24%). L’analyse des conversations instantanées leur fait tout aussi peur (24% également). Et seuls 20% seraient prêts à tenter le coup d’une puce intégrée sous la peau.

Et quand on les interroge sur le fait que la technologie de mesure des émotions des individus permette de proposer des contenus adaptés à leurs états émotionnels, 77 % opinent du chef. 60 % se disent « tout à fait prêts (23%) et « plutôt prêts » (37%)à consommer de tels contenus adaptés. « En fait tout dépend si ces contenus leur seront utiles et de ce que l’on va leur donner en échange », conclut Olivier Goulet, président d’iligo.

Contacts : Isabelle Musnik, directrice de la rédaction, isabellemusnik@influencia.net

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