6 avril 2017

Temps de lecture : 4 min

Pollutoys : la peluche polluée

Comment éduquer de très jeunes enfants de manière ludique sur des sujets graves comme l’écologie ? L’ONG Sea Sheperd et l’agence Fred & Farid Shanghai ont trouvé la solution : Pollutoys, des peluches dont l’estomac est rempli de débris à l’image de ceux des animaux marins.

Comment éduquer des jeunes enfants de manière ludique sur des sujets graves comme l’écologie ? L’ONG Sea Sheperd et l’agence Fred & Farid Shanghai ont trouvé la solution : Pollutoys, des peluches dont l’estomac est rempli de débris à l’image de ceux des animaux marins.

Un million. C’est le nombre d’animaux marins qui meurent chaque année de la pollution plastique. Pour lutter contre ce fléau, Sea Shepherd, l’organisation maritime, prend la parole avec son agence Fred & Farid Shanghai dans une opération terrain et digitale. Mais cette fois, au lieu de tout miser sur des contenus chocs de tortues asphyxiées ou d’oiseaux agonisants à destination des adultes, l’ONG opte pour une approche pédagogique et créative destinée aux jeunes enfants.

Un outil évident et innovant

Un changement de cap qui passe par la création d’une marque, Pollutoys, qui propose des peluches un peu particulières. Sous leur allure sympathique, « Marh the shark » ou « Pelle the pelican », ces animaux marins adorables et inoffensifs souffrent d’une triste réalité. En effet, leur estomac est rempli de déchets allant du sac à la bouteille plastique en passant par la canette et autres couverts…

L’opération a été déployée sous forme de vidéo. A l’image des peluches adorables, le court film de l’ONG refuse de tomber dans l’écueil des images chocs et privilégie l’éducation et la pédagogie des nouvelles générations. Un #Pollutoys a d’ailleurs été lancé sur Twitter afin de mobiliser les internautes autour de cette initiative bienveillante et porteuse d’espoir.

Capter l’attention et toucher le cœur

Cette opération permet de sensibiliser d’une autre manière les enfants sur les problématiques de la pollution. La créatrice de jouets Andrea Vida a conjointement décidé avec Sea Sheperd de confectionner des peluches qui susciteraient l’intelligence émotionnelle des enfants. La stratégie est en effet d’attiser leur curiosité naturelle en posant avec causticité la question de la santé des animaux à travers ces jouets qui réservent des surprises bizarres. Et ca marche, comme le démontre une étude de l’Institut de Neurosciences NICO selon laquelle 77% des enfants apprennent une notion ou retiennent mieux une information lorsqu’ils s’amusent avec des jouets.

Chez CampaNanny, Orange Panda et Magnolia Kindergarten, des organismes d’enseignement pour la petite enfance et partenaires de l’opération, le parti pris du personnel est d’aider les enfants à verbaliser leurs ressentis. Puis de les inciter à imaginer des solutions pour rendre les océans plus propres. Après tout, les enfants ne sont-ils pas les êtres les plus créatifs de notre société ?

Comment éduquer des jeunes enfants de manière ludique sur des sujets graves comme l’écologie ? L’ONG Sea Sheperd et l’agence Fred & Farid Shanghai ont trouvé la solution : Pollutoys, des jouets dont l’estomac est rempli de débris à l’image de ceux des animaux marins.

Un million. C’est le nombre d’animaux marins qui meurent chaque année de la pollution plastique. Pour lutter contre ce fléau, Sea Shepherd, l’organisation maritime, prend la parole avec son agence Fred & Farid Shanghai dans une opération terrain et digitale. Mais cette fois, au lieu de tout miser sur des contenus chocs de tortues asphyxiées ou d’oiseaux agonisants à destination des adultes, l’ONG opte pour une approche pédagogique et créative destinée aux jeunes enfants.

Un outil innovant
Un changement de cap qui passe par la création d’une marque, Pollutoys, qui propose des peluches un peu particulières. Sous leur allure sympathique, « Marh the shark » ou « Pelle the pelican », ces animaux marins adorables et inoffensifs souffrent d’une triste réalité. En effet, leur estomac est rempli de déchets allant du sac à la bouteille plastique en passant par la canette et autres couverts…
L’opération a aussi été déployée sous forme de vidéo. A l’image des peluches adorables, le court film de l’ONG refuse de tomber dans l’écueil des images chocs et privilégie l’éducation et la pédagogie. Un #Pollutoys a d’ailleurs été lancé sur Twitter afin d’interpeller la population autour de cette initiative bienveillante et porteuse d’espoir pour la nouvelle génération.

Capter l’attention et toucher le cœur
Cette opération permet de sensibiliser d’une autre manière les enfants sur les problématiques de la pollution. La créatrice de jouets Andrea Vida a conjointement décidé avec Sea Sheperd de confectionner des peluches qui susciteraient l’intelligence émotionnelle des enfants.  La stratégie est en effet d’attiser leur curiosité naturelle en posant avec causticité la question de la santé des animaux qu’elles représentent.
Chez CampaNanny, Orange Panda et Magnolia Kindergarten, des organismes d’enseignement pour la petite enfance et partenaires de l’opération, le parti pris du personnel est d’aider les enfants à verbaliser leurs émotions. Puis de les inciter à imaginer des solutions pour rendre les océans plus propres. Après tout, les enfants sont bien des éponges.

Comment éduquer des jeunes enfants de manière ludique sur des sujets graves comme l’écologie ? L’ONG Sea Sheperd et l’agence Fred & Farid Shanghai ont trouvé la solution : Pollutoys, des jouets dont l’estomac est rempli de débris à l’image de ceux des animaux marins.

Un million. C’est le nombre d’animaux marins qui meurent chaque année de la pollution plastique. Pour lutter contre ce fléau, Sea Shepherd, l’organisation maritime, prend la parole avec son agence Fred & Farid Shanghai dans une opération terrain et digitale. Mais cette fois, au lieu de tout miser sur des contenus chocs de tortues asphyxiées ou d’oiseaux agonisants à destination des adultes, l’ONG opte pour une approche pédagogique et créative destinée aux jeunes enfants.

Un outil innovant
Un changement de cap qui passe par la création d’une marque, Pollutoys, qui propose des peluches un peu particulières. Sous leur allure sympathique, « Marh the shark » ou « Pelle the pelican », ces animaux marins adorables et inoffensifs souffrent d’une triste réalité. En effet, leur estomac est rempli de déchets allant du sac à la bouteille plastique en passant par la canette et autres couverts…
L’opération a aussi été déployée sous forme de vidéo. A l’image des peluches adorables, le court film de l’ONG refuse de tomber dans l’écueil des images chocs et privilégie l’éducation et la pédagogie. Un #Pollutoys a d’ailleurs été lancé sur Twitter afin d’interpeller la population autour de cette initiative bienveillante et porteuse d’espoir pour la nouvelle génération.

Capter l’attention et toucher le cœur
Cette opération permet de sensibiliser d’une autre manière les enfants sur les problématiques de la pollution. La créatrice de jouets Andrea Vida a conjointement décidé avec Sea Sheperd de confectionner des peluches qui susciteraient l’intelligence émotionnelle des enfants. La stratégie est en effet d’attiser leur curiosité naturelle en posant avec causticité la question de la santé des animaux qu’elles représentent.
Chez CampaNanny, Orange Panda et Magnolia Kindergarten, des organismes d’enseignement pour la petite enfance et partenaires de l’opération, le parti pris du personnel est d’aider les enfants à verbaliser leurs émotions. Puis de les inciter à imaginer des solutions pour rendre les océans plus propres. Après tout, les enfants sont bien des éponges.

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