6 mai 2020

Temps de lecture : 1 min

Et si on se mettait en « quarantune » ?

C’est une des questions qu’on se pose tous: après le confinement, nos comportements auront-ils changé? Qu’allons-nous garder en nous de la crise? Consommerons-nous comme avant? Autant? Moins? Différemment? Retrouverons-nous un jour les grands festivals, les grands événements , les émissions de télé enregistrées en public ? Ou notre ultra-connection nous aura t-elle hypnotisés pour toujours?

C’est une des questions qu’on se pose tous: après le confinement, nos comportements auront-ils changé? Qu’allons-nous garder en nous de la crise? Consommerons-nous comme avant? Autant? Moins? Différemment? Retrouverons-nous un jour les grands festivals, les grands événements , les émissions de télé enregistrées en public ? Ou notre ultra-connection nous aura t-elle hypnotisés pour toujours?

A moins d’avoir une boule de cristal, difficile de connaître les réponses. Et les experts se succèdent, l’un pour nous dire que tout va changer, et que rien ne sera plus jamais comme avant et l’autre pour nous affirmer qu’au contraire tout redeviendra comme « au bon vieux temps » de l’avant Covid. En attendant, un fait est certain : l’imagination est au pouvoir et chacun essaie d’inventer de nouvelles façons de s’exprimer ou de communiquer. Les musiciens organisent des concerts virtuels, les musées nous convient à des visites tout aussi virtuelles. Le mythique Met Gala organisé d’habitude à New York par Vogue vient de se dérouler sur Youtube, présentée par la prêtresse de la mode Anna Wintour.

Et le dernier endroit à la mode, où il faut aller et être vu aux États-Unis, ce sont les « Zoom parties » lancées en Californie. Le Los Angeles Times raconte que ces « quarantunes » permettent aux pop stars d’envoyer des fonds à des organisations caritatives. En un mois seulement, plus d’un million de dollars auraient été récoltés pour des organisations locales et nationales américaines liées au coronavirus grâce à ces rendez-vous incontournables qui remplacent désormais les sempiternels galas de charité.

Et faute d’Eurovision, les musiciens, artistes et développeurs de treize pays s’affrontent dans un concours de chansons créées par intelligence artificielle l’AI Song Context. Un jury composé de deux spécialistes d’intelligence artificielle et d’un compositeur jugera les morceaux mais le public peut aussi voter jusqu’au 10 mai. Ah, échapper à la cérémonie kitsch et ringarde de l’Eurovision: même le Covid a finalement des bons côtés…

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