« Une ville finit par être une personne. »

C’était il y a 29 ans, en août 1990. Le mur de Berlin était tombé quelques mois plus tôt, la Perestroïka battait son plein et je visitais Moscou. Ville grandiose et magnifique. Mais ville tellement triste, aux murs désespérément vides. Moi qui vivais depuis toujours à Paris, ville lumière, c’était la première fois que je réalisais que la publicité, la bonne bien sûr, celle qui nous interpelle, nous fait sourire, rire ou verser une larme, pouvait aussi simplement égayer la rue.

Je pense souvent à ce moment lorsque j’entends les anti-pubs qui – un peu trop vite à mon goût – vouent aux gémonies les affiches, panneaux grand format et toute forme de communication des marques. « Une ville finit par être une personne. » Ces mots de Victor Hugo disent comme elle a besoin de gaieté, d’audace, de folie, de scintillement, qu’elle a ses zones d’ombre aussi. Comme tout être humain, vivant. Elle a envie qu’on l’aime, qu’on la bichonne, qu’on l’encense, qu’on la réconforte, qu’on la guide ou qu’on lui dessine ses habits de lumière.

Façades, tours, toits, stations, gares, colonnes, escaliers, abribus, vitrines, l’habillage urbain prend de multiples formes et la ville tout entière est devenue aujourd’hui un formidable imagier, espace d’expression et d’invention pour des événements culturels, dans tous les sens du terme, et les marques. La ville se réinvente désormais jour après jour avec créativité, se transformant de plus en plus grâce aux innovations technologiques en des espaces 3D de véritables mises en scène, où les citadins deviennent à l’occasion acteurs.

« À mesure que les années passent, chaque quartier, chaque rue d’une ville, évoque un souvenir, une rencontre, un chagrin, un moment de bonheur », dit Patrick Modiano*. Votre ville vous attend. Sortez, ouvrez-vous à elle, ce numéro d’INfluencia sous le bras bien sûr !



*Discours de réception du prix Nobel de littérature.

La ville est un théâtre, la rue est un spectacle.

Média de la ville par excellence depuis plus de cinquante ans, JCDecaux a souhaité s’associer à ce numéro d’Influencia consacré à « La ville en images ». Pour Shakespeare, « la vie est un théâtre où chacun joue un rôle ». Pour JCDecaux, c’est la ville qui est un théâtre, et la rue un spectacle. Un spectacle émouvant et fascinant, permanent et populaire.


Sur cette scène de chaque jour et de tous les rêves, la vocation, la mission de JCDecaux est de contribuer à faire vivre la ville. Par les services qui facilitent la vie quotidienne, comme les kiosques ou les abribus. Par la valorisation de la vie culturelle. Par la possibilité donnée aux marques d’exprimer leur créativité sur les plus belles scènes de la ville.


Toiles XXL qui œuvrent à la restauration du patrimoine, dispositifs événementiels qui animent la rue, campagnes qui accompagnent les citoyens-consommateurs dans leurs déplacements, mobiliers urbains digitaux qui délivrent le bon message, au bon moment, aux bons publics – le média JCDecaux est synonyme de pertinence et de vitalité ; créateur de ferveur, il est créateur de valeur.


Efficace, il garantit d’être vu, connu et reconnu tout en offrant l’expérience unique du collectif, du « voir ensemble ». À l’heure où les marques réinventent leur rôle dans l’espace public, où les collectivités locales conçoivent de nouvelles solutions pour conforter le vivre-ensemble et bâtir un urbanisme apaisé, JCDecaux est plus que jamais le trait d’union entre les annonceurs et les villes pour améliorer durablement la qualité de vie, avec cette conviction : les lieux de la ville doivent construire des liens pour la vie.